Après diverses tractations, la préfecture propose des nuits d’hôtel aux résidents mais
refuse toujours de s’engager sur des logements pérennes, elle voudrait que tous les
centres d’hébergement hivernaux soient fermés avant de mettre par écrit une (im)probable
solution sur le long terme.
Devant la détermination de certains à rester, elle
menace de couper le courant demain matin, alors même que des nourrissons sont
résidents des lieux, et de blacklister les résidents résistants. Nous appelons à un large
soutien à partir de maintenant jusqu’à demain pour aider ces personnes à faire
valoir leur droit et ne pas les laisser dormir dans la rue !
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