Seule une décision d’interdire l’espace aérien à la Turquie, membre de l’OTAN, prise par les puissances membres du Conseil de Sécurité de l’ONU arrêterait le massacre de civils et rétablirait un semblant “d’équilibre” des forces.
Nous savons toutes et tous, que l’OTAN pourrait interdire à l’un de ses membres une agression militaire. Aucune volonté n’est présente de ce côté là. Le maintien des intérêts stratégiques et bien sûr économiques au Moyen-Orient l’emporte sur tout droit des peuples international.
Les commandements militaires à Afrin avouent eux-mêmes que le déséquilibre en armement lourd ne se compense pas par l’esprit de sacrifice des combattantEs pour leur cause.
Face à ce qui est une convergence d’intérêts à ce que le mouvement kurde, et le projet politique du Nord Syrie soit durablement affaibli, les combattantEs d’Afrin sont livrés à l’agression turque, qui s’est considérablement renforcée, qui plus est soutenue maintenant en interne par une union nationale avec la pseudo opposition kémaliste.
>Rassemblement pour Gaza, pour la Palestine Samedi 20 avril - 15h Place des Terreaux - Lyon
Ce gouvernement criminel parce qu’il subit des pressions internationales (trop souvent verbales) a bombardé le 1er avril l’ambassade d’Iran à Damas, prenant délibérément le risque d’une extension du conflit, en espérant détourner l’attention de ses crimes génocidaires en Palestine.
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