La bonne blague : l’élection de Sarkozy est illégale !

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Nicolas Sarkozy a été soi-disant élu président de la république le 6 mai 2007.
Or plusieurs violations flagrantes de la loi sont à signaler à ce sujet et notamment une de très grande importance : son véritable nom de famille n’est pas celui sous lequel il s’est présenté !

Selon le journal officiel du 1er janvier 2005 texte 3/146, il s’appelle réellement :
Nicolas SARKÖZY de NAGY BOCSA.

Quelle importance serait-on tenter de répondre, qu’il se fasse appeler de manière réductrice Nicolas SARKOZY et non de son véritable nom inscrit sur son état civil ?

Il faut savoir que les noms et prénoms de famille sont encadrés par une loi qui date de la révolution et qui est toujours en vigueur actuellement.
Il s’agit de la loi du 6 fructidor de l’an II (6 février 1793)

Cette loi a créé le principe d’immutabilité du nom de famille. Elle dit ceci :

Art. 1er. Aucun citoyen ne pourra porter de nom ni de prénom autres que ceux exprimés dans son acte de naissance : ceux qui les auraient quittés seront tenus de les reprendre
2. Il est également défendu d’ajouter aucun surnom à son nom propre, à moins qu’il n’ait servi jusqu’ici à distinguer les membres d’une même famille, sans rappeler les qualifications féodales et nobiliaires.
3. Ceux qui enfreindraient les dispositions des deux articles précédents seront condamnés à six mois d’emprisonnement et à une amende égale au quart de leur revenu. La récidive sera punie de la dégradation civique.
4. Il est expressément défendu à tous fonctionnaires publics de désigner les citoyens dans les actes autrement que par le nom de famille, les prénoms portés en l’acte de naissance, ou les surnoms maintenus par l’article 2, ni d’en exprimer d’autres dans les expéditions et extraits qu’ils délivreront à l’avenir.
5. Les fonctionnaires qui contreviendraient aux dispositions de l’article précédent seront destitués, déclarés incapables d’exercer aucune fonction publique, et condamnés à une amende égale au quart de leur revenu.
6. Tout citoyen pourra dénoncer les contraventions à la présente loi à l’officier de police dans les formes ordinaires.
7. Les accusés seront jugés pour la première fois par le tribunal de police correctionnel et, en cas de récidive, par le tribunal criminel du département.

Conséquences :
Ainsi le sieur Nicolas SARKÖZY de NAGY BOCSA est-il en complète violation de la loi et tombe-t-il sous le coup du code pénal ! (articles 433-19 et 433-22)

En effet, SARKOZY aurait du se présenter à la présidentielle sous ses véritables prénom et nom de famille tels qu’ils sont confirmés dans le registre d’état civil et dans le Journal officiel du 1er janvier 2005.

Ceci est pour le moins curieux de la part d’un avocat qui par essence se doit de connaître et respecter la loi.

Le Conseil constitutionnel, qui examine la régularité de la procédure de l’élection présidentielle doit donc déclarer SARKOZY NON ELU pour violation de la loi ; celle-ci entraînant de facto la nullité de son élection car la loi du 6 fructidor de l’an II est d’ordre public. Elle s’impose donc à tous et plus particulièrement aux magistrats et institutions d’Etat.

D’autre part, personne ne peut affirmer que SARKOZY n’a pas utilisé ce « faux nom » aux fins de se soustraire à l’obligation de déclaration de patrimoine auprès dudit Conseil constitutionnel.

En effet, le patrimoine de Nicolas SARKOZY peut-être très différent de celui de Nicolas SARKÖZY de NAGY BOCSA, voire de celui de Nicolas de NAGY BOCSA !
(ce nom se retrouve bizarrement dans les listes informatiques de l’affaire Clearstream)

N’importe qui peut donc porter plainte, en s’inspirant de ce texte. La loi est la même pour tous et nul ne peut la violer impunément.
SARKOZY doit donc être déclaré non élu et être cité devant le Tribunal correctionnel pour y répondre de ces violations caractérisées.

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Si le Conseil constitutionnel passe outre (il y a de fortes probabilités pour cela car cette institution est aux ordres des gouvernants et n’est absolument pas indépendante), ce dernier doit être alors déclaré illégal et avoir des comptes à rendre au peuple et à la justice.

Déposez plainte en masse contre SARKOZY !

P.-S.

Pour plus de renseignements, et notamment pour obtenir la copie de la plainte déjà effectuée par René Hoffer qui pourra vous servir de modèle, écrivez à : renehoffer(Arobase)mail.pf

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  • Le 5 février 2008 à 12:13

    Petite précision : le 6 fructidor de l’an II ne correspond pas au 6 février 1793 mais au 23 août 1794.

    Pour le reste, je suis d’accord.

  • Le 10 juillet 2007 à 09:40

    La situation de 1958 était certes complexe mais avait été largement engendrée par de Gaulle qui ruminait depuis longtemps sa mise à l’écart de 1946. Ses amis et lui ont manigancé les événements troubles de l’époque, par manipulation de l’opinion en l’appeurant, afin de prendre le pouvoir par coup d’état d’apparence légal. Le soulèvement de mai 1958 en Algérie fût monté de toutes pièces par les gaulistes, cela est de notoriété publique.

    Le 2 juin 1958, après avoir placé virtuellement un pistolet sur la tempe de René COTY, le président de l’époque, le dictateur de Gaulle avait gagné, le parlement lui accordait ce qu’il avait exigé ; les pleins pouvoirs.

    Alors pour ce qui est de l’action, le peuple est à nouveau ignoré sauf à cautionner servilement ces actes. Quid de l’article 3 de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, piétiné par de Gaulle, qui impose la souveraineté du peuple.

    Depuis lors, le 4 octobre 1958, nous subissons une constitution scélérate qui, en glorifiant le culte du chef, ignore superbement les citoyens.

    Quant à l’affaire du faux nom de Sarkozy, il s’agit de savoir si la loi est la même pour tous ou si son application ne concerne pas les politiques ! Sarko a menti aux français en s’attribuant un faux nom : point barre. A ce titre son élection doit être invalidée.

    De surcroît quand on est un ancien avocat, on ne peut méconnaître les textes législatifs qui s’imposent à tous. La République n’a pas voulu qu’il y ait d’un côté la caste des nantis et des puissants et de l’autre les citoyens français qui doivent se taire et supporter l’application des lois sans broncher, ne t’en déplaise...

  • Le 7 juillet 2007 à 11:44

    « Sarkozy s’inscrit dans la lignée des autres dictateurs que furent Napoléon III et De Gaulle qui en 1958 nous a pondu (par l’intermédiaire de son mentor Michel Debré) une constitution scélérate car autocratique. Cela suffit ! »

    "Tout le monde peut s’intituler critique, et d’autant plus facilement que l’on n’y connaît rien." [Tristan Bernard]

    La situation en 1958 était un rien plus compliquée que tu ne voudrais le laisser croire. Même si ce n’était pas parfait, il a agit, lui, et c’est en agissant qu’on avance, pas en critiquant.
    Pour Sarkozy, j’ignorais que le président était élu en fonction de son nom ... Il y a un jour où il faudra ouvrir les yeux, et ce n’est pas avec ce genre de propos politiquement partial que tu vas améliorer quelque chose à notre merveilleuse vie ou au développement de notre pays.

  • Le 15 juin 2007 à 18:05

    4. Il est expressément défendu à tous fonctionnaires publics de désigner les citoyens dans les actes autrement que par le nom de famille, les prénoms portés en l’acte de naissance, ou les surnoms maintenus par l’article 2, ni d’en exprimer d’autres dans les expéditions et extraits qu’ils délivreront à l’avenir.

    5. Les fonctionnaires qui contreviendraient aux dispositions de l’article précédent seront destitués, déclarés incapables d’exercer aucune fonction publique, et condamnés à une amende égale au quart de leur revenu

    On pourrait porter plainte contre le BO déja, histoire de voir ce qu’il en est ?

  • Le 4 juin 2007 à 12:29, par vieux loup

    Oui cette loi est toujours d’actualité, sans quoi, pour qu’elle ne puisse plus être applicable, il faudrait qu’elle soit dès lors abrogée.
    Même si cette loi était prochainement abrogée, l’élection du sieur sarkozy étant antérieur à l’abrogation de cette loi, serait par conséquent valable pour ladite élection.

    En l’état, je ne vois rien qui s’oppose à la loi du 6 fructidor de l’an II (6 février 1793).
    Le code civil prévoit en effet une utilisation d’usage courant d’un (appelons-le) pseudonyme, mais uniquement pour la vie courante, et non pour des actes et autres procédures administratives, donc PAS pour se présenter à des élections quelles qu’elles soient.

    Et si pour appliquer cette loi, il fallait mettre en invalidation plusieurs dizaines de politiciens en place, toutes élections confondues, je ne vois pas en quoi cela est gênant.
    Bien au contraire, ceci démontrerait que la France est bien un État de droit, sous un régime démocratique.

    Le contraire ne ferait que démontrer que la démocratie, exprimée par le droit n’existe plus en l’état...!!

    Que l’on soit pour ou contre ce président, soit il gardera le statut de président pour chacun, en cas d’invalidation, en application avec une législation étant applicable à l’époque de ladite élection, soit rien ne change, et il ne sera plus qu’un dictateur, ne s’étant jamais contraint à la législation qui fait la démocratie.

    C’est on ne peut plus simple que cela. CQFD.

    Petite précision, nous parlons ici de nom d’usage, donc de nom de famille, le prénom est autre chose, d’autant plus lorsqu’il s’agit de prénom composé.
    Les prénoms composés se composent d’un premier et d’un second, l’utilisation du premier uniquement est autorisé. Même l’administration raccourcie les prénoms composés par l’usage du premier sans le trait d’union, et du second qui suit ce trait d’union...

    Une loi prévaut toujours sur un code de lois, car ce n’est pas le code qui fait la loi. Seule l’abrogation de la loi peut la rendre inapplicable. Une loi qui mettrait une précédente en contrainte se verrait prévaloir par son antériorité, et par le fait qu’elle n’est pas abrogée.
    Un article de loi publié dans un code qui mettrait en contrainte une lois précédente, se verrait inapplicable, car non antérieur à ladite loi.

    Seule une dictature peut faire que les lois passées sous un régime démocratique / ou précédent ne soient pas/plus applicable.
    Dans une démocratie, pour modifier, créer ou faire perdurer une législation, un tas de procédures sont à respecter, si elles ne le sont pas/plus, ce n’est plus une démocratie, à moins que le peuple ait été consulté pour en décider ainsi.
    La présidence seule, ou ses administrations ne peuvent en l’état décider seule/s de ce/ces changement/s.

    La démocratie, c’est l’élection par le peuple, pour le peuple, et en l’état, si un changement se fait dans le fonctionnement de notre pays, y compris dans le fonctionnement même de la législation, seul le peuple à le pouvoir de valider ou d’invalider une telle requête.

    Encore une fois, si ceci se fait sans consultation du peuple, ce n’est plus/pas une démocratie.

    Au sieur SARKÖZY de NAGY BOCSA de voir si le mot rupture (si souvent employé dans sa bouche) signifie rupture avec la démocratie, ou bien rupture avec les irrégularité coutumières de la caste politicienne...!!

    Mais en finalité, seul le peuple sera juge.

    Début d’un règne dictatorial, ou bien début d’une fin de lignée de présidences irrégulières...???

  • Le 14 mai 2007 à 10:27

    Entre temps il y a eu l’élaboration de différents codes, qui sont revus et modifiés régulièrement. Alors cette loi révolutionnaire, elle est vraiment encore d’actualité ?

  • Le 13 mai 2007 à 21:53

    Gros, qu’en savez-vous ?
    Naïfs, ma foi, cela peut être une vertu en nos jours si sombres.

    A la vérité, Christian Cotten n’a jamais été une référence démocratique, mais plutôt un illuminé prônant les sectes en tout genre qui utilise de pseudo arguments démocratiques pour parvenir à ses fins ...
    Alors, entre la peste et le choléra...

    Maintenant le problème posé est celui-ci :
    La France est-elle un état de droit ?
    L’a-t-elle seulement été un jour durant depuis 1789 ?
    Si non, elle est donc une république bananière que 53% de c... viennent de confirmer dans ses exactions.
    Si oui, la loi doit s’appliquer à tous.

    Il est aisé de faire un distinguo entre ceux qui se permettent d’enfreindre les lois (les élus, les magistrats, les nantis etc...) et ceux qui doivent supporter les lois.

    Lorsque vous vous retrouvez devant un tribunal (et cela peut arriver à n’importe qui, référence à Outreau), le magistrat vous assène les lois comme un leitmotiv à la mécanique bien huilé.

    Vous êtes donc, comme citoyen, tenu de respecter ces-dites lois sous peine de répression.

    Mais pourquoi, lorsqu’une personne soulève une violation flagrante de la loi par une « personnalité » politique, certains doivent-ils se trouver obligé d’imposer leur « vérité » négative, supputant ainsi que l’autre est soit naïf, soit incompétent.

    Heureusement que nombreux furent ceux qui s’opposèrent à la dictature sans « écouter les donneurs de leçon ».

    Dans le cas présent, il s’agit d’opposer le droit dans une attitude la plus légaliste à un personnage (Sarko) qui fabrique de toutes pièces son droit et qui est conforté dans ses actes par un pseudo Conseil constitutionnel dont la légitimité est plus que contestée.

    Même si cette procédure ne pouvait aboutir, elle aurait au moins le mérite d’informer.
    Et un peuple informé devient moins servile.
    Connaître le droit, c’est s’affranchir des dictatures.

  • Le 11 mai 2007 à 19:42

    Ah oui ?

    Finalement, on va finir par amputer une partie des candidats si le nom ou le prénom doivent respecter l’Etat Cicil a la lettre pres.

    Et pour Marie-Ségolene, comment on fait ?

  • Le 11 mai 2007 à 11:05, par papou

    On peut toujours rêver...

    Le Conseil Constitutionnel a déjà empêché plusieurs candidature au premier tour de l’élection présidentielle, quelqu’un comme Christian Cotten a même été emprisonné parce que sa candidature risquait de gêner celle de Sarko.

    La seule loi à laquelle obéissent les politiques de droite est celle de la jungle, arrètez d’être de gros naïfs, ouvrez les yeux sur ce qui existe !

  • Le 11 mai 2007 à 10:05, par hhsksu

    Si je comprends bien, Philippe de Villiers était lui aussi en infraction avec la loi dont il est question, pour ne pas s’être présenté sous son nom complet de « Le Joly de Villiers » ?

    Mais dans ce cas, ses autres mandats électif doivent donc être invalidés ?

    Et peut -être n’est-il pas le seul dans ce cas ? Vous imaginez le chambardement ? (si tant est que la question puisse avoir une chance d’être traitée par les autorités compétentes) Quoiqu’il en soit, 1000 contre 1 que ça n’empêchera pas Sarko de régner.

  • Le 10 mai 2007 à 22:14

    Certes, le code électoral est muet quant à ce fait et en dehors de toute loi, point de délit.

    Cependant, le conseil constitutionnel, bras armé du pouvoir et complètement inféodé à celui-ci (comme du reste tous les autres conseils supérieurs de la nation, ainsi que les cours suprêmes de justice) a cependant répondu à la question suivante en 2002 lors de la précédente élection présidentielle :

    http://www.conseil-constitutionnel.fr/dossier/presidentielles/2002/faq/q09.htm

    Un candidat peut-il se présenter à l’élection présidentielle et faire campagne sous un nom d’usage sous lequel il est plus connu que par le nom de son état civil ?

    Réponse du Conseil constitutionnel :

    « Aucune disposition légale ou réglementaire applicable à l’élection du Président de la République n’interdit le recours au nom d’usage d’un candidat, si celui-ci est attesté et insusceptible d’introduire une confusion dans l’esprit des électeurs (par homonymie avec un autre candidat par exemple), dès lors que les règles relatives à la présentation des candidatures sont respectées. »

    Nonobstant la pseudo légitimité de ce conseil constitutionnel, il y a lieu de relever la phrase suivante :
    « si celui-ci est attesté et insusceptible d’introduire une confusion dans l’esprit des électeurs »

    C’est justement le cas d’espèce en ce qui concerne Sarkozy qui s’est bien gardé de faire campagne sous son véritable nom de famille issu de l’aristocratie. (sans compter la possible violation de déclaration de patrimoine)
    Philippe de Villiers l’a fait (mais en occultant également son véritable nom : Philippe Le Joly de Villiers). On a vu le résultat !

    Si Sarkozy avait fait état de son appartenance à la caste des nantis de naissance, il y a fort à parier que de nombreux français, pourtant de droite, n’auraient pas accepté d’accorder leur confiance à un « ennemi du peuple », réveillant ainsi leurs vieux réflexes révolutionnaires.

    Sarkozy le savait, il a utilisé cette pseudo faille qui est largement contestable au plan du droit.

    De surcroît, comme chacun le sait, un code de lois n’est que le rassemblement de lois et décrets. A ce titre, il ne peut précéder la loi mais uniquement s’en prévaloir.

    Il n’a pas valeur intrinsèque de loi commune mais permet une inclinaison du sens des lois.

    Ainsi, le code électoral ne saurait s’opposer à la loi du 6 fructidor de l’an II qui stipule expressément en son article premier qu’il est INTERDIT à tout citoyen d’utiliser un autre nom que son nom patronymique.

    De surcroît, l’article 2 édicte qu’il est également défendu d’ajouter aucun surnom à son nom propre, à moins qu’il n’ait servi jusqu’ici à distinguer les membres d’une même famille, sans rappeler les qualifications féodales et nobiliaires.

    Cette loi du 6 fructidor de l’an II est, je le rappelle toujours en vigueur en 2007.

    Nous sommes donc bien ici dans la violation la plus totale de la loi ainsi que dans l’interprétation la plus contestable de la réponse émanant du conseil constitutionnel.

    C’est pourquoi je dis et je redis : l’élection de Sarkozy doit être invalidée.

  • Le 10 mai 2007 à 19:33, par wBabylon

    L’affaire est intéressante, j’espère très franchement que c’est valable, et j’espère très franchement que cela aboutira, même si à mon humble avis, les chances de voir SARKOZY dépossédé de son titre de président des Français sont moindres.

    Dans tous les cas, même s’il reste à son poste de Président de la République, il aura perdu toute sa crédibilité.

  • Le 10 mai 2007 à 17:45, par tyn0r

    19. Le lundi 7 mai 2007 à 15:08, par nemo auditur

    Que dit le code electoral si les candidats ne se présentent pas sous leurs patronymes ?

    Rien.

    Eolas

    pas telment constructive comme reponse ...

  • Le 10 mai 2007 à 16:37, par Fanette dans la valeur absolue

    Et Maître EOLAS, commentaire N° 19 confirme que s acandidature n’est pas illégale !
    Suivre le lien :
    http://maitre.eolas.free.fr/journal/index.php?2007/05/07/615-parce-qu-il-va-falloir-continuer-a-vivre-ensemble

  • Le 10 mai 2007 à 13:59

    L’élection de SARKO est bien illégale.

    Le Conseil constitutionnel DOIT l’invalider sous peine d’être complètement discrédité.
    D’autres recours devant le Conseil d’Etat seront également possibles.

    En effet, le code civil permet l’utilisation de noms d’usage, de surnoms ou de pseudonymes, mais ils sont sans valeur juridique et ne peuvent être utilisés pour des fins électorales.

    Seul le code électoral régit les procédures concernant les élections.

    Voir également
    http://www.geneaguide.com/doc/divers/NOMUSAG.HTM

  • Le 10 mai 2007 à 13:24

    En l’espèce, dans le cas de la pseudo élection de Sarkozy, le code électoral s’applique. (Code électoral, articles L. 11, L. 12 et L. 14)

    Il précise bien que seul le nom pratronymique (nom inscrit sur l’état civil) doit être consigné. (voir jurisprudences tribunal administratif notamment sur www.rajf.org)

    Quant au code civil, il s’oppose pas à la loi du 6 fructidor de l’an II.
    Il permet simplement l’usage courant d’un pseudonyme sans que ce dernier puisse se prévaloir d’une quelconque valeur juridique.

    Voir débat sur l’usage du nom de famille suite à la loi du 4 mars 2002
    http://www.maire-info.com/article.asp?param=7356&PARAM2=PLUS

    Par conséquent, l’illégalité de l’élection de Sarkozy est incontestable.

  • Le 10 mai 2007 à 12:55

    Je persiste et signe : l’élection de Sarkozy est illégale.

    1°) Son état civil est bien consigné ainsi :
    Nicolas, Paul, Stéphane SARKÖZY de NAGY BOCSA
    Né le 28 janvier 1955 à Paris 17e .
    Fils de Paul Sarközy de Nagy-Bocsa, Publicitaire, et de Mme, née Andrée Mallah, Avocate.
    Marié le 23 octobre 1996 avec Mme Cécilia Ciganer-Albeniz (1 enfants : Louis et 2 enfants de son premier mariage : Pierre, Jean).

    Alors peu importe son adjectif nobiliaire (d’ailleurs le mot nobiliaire est déjà un adjectif, il y a donc redondance)
    Contrairement à ce qui est indiqué sur certains sites du Net, les attributs nobiliaires font bien partie du nom de famille. (demandez à Philippe Le Joly De Villiers ou à Marie-Ségolène Royale ce qu’ils en pensent...)

    Sarkozy s’est volontairement présenté sous son nom amputé pour plusieurs raisons dont notamment celle de tromper ses électeurs républicains sur ses origines nobles, et sans doute celle de cacher une partie de son patrimoine.

    2°) Son état civil est également repris en intégralité dans sa nomination au rang d’officier de la légion d’honneur dans le journal officiel du 1 janvier 2005. Le journal officiel de la République Française est le seul document authentique faisant foi. Il n’y a donc aucune contestation juridique possible ; la loi du 6 fructidor de l’an II est d’ordre public (c’est à dire qu’elle s’impose à tous, y compris aux plus hautes autorités)

    Je vous invite à lire l’excellent article de Jean Dominique REFFAIT pour plus de précision.
    http://www.agoravox.fr/print_article.php3?id_article=22760&format=print

    Alors les plaintes contre Sarkozy sont tout à fait justifiées.

    Depuis 1799 et le coup d’Etat du dictateur Bonaparte, la démocratie est confisquée au peuple par des voleurs de pouvoir de tout poil, méprisants et imbus de pouvoir personnel.

    Sarkozy s’inscrit dans la lignée des autres dictateurs que furent Napoléon III et De Gaulle qui en 1958 nous a pondu (par l’intermédiaire de son mentor Michel Debré) une constitution scélérate car autocratique.
    Cela suffit !

    Au fait connaissez-vous le Référendum d’Initiative Populaire.
    Allez faire un tour sur le site d’Yvan Bachaud, déclaré à la présentielle de 2007 qui soutien ce mouvement véritablement démocratique, notamment pour les prochaines législatives.

    allez sur
    http://www.ric-france.fr/
    http://www.ric-france.fr/entrezlegisl.htm

  • Le 10 mai 2007 à 12:29

    Le code civil indique également que l’on peut se targuer d’utiliser « un nom d’usage », voire un surnom, si l’intérréssé est plus connu de tous par ce nom là. Dans ce cas, l’élection de Sarkozy est malheureusement légale...

  • Le 10 mai 2007 à 11:29

    adjectif nobiliaire ou pas, le nom de famille de référence est celui inscrit sur l’acte de naissance !

  • Le 10 mai 2007 à 09:32

    Le mot nagybócsai (Nagybocsa) est un adjectif de titre nobiliaire qui indique la provenance et ne fait pas partie du nom de famille proprement dit.

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