Wafik Bouakar, 25 ans, originaire de Creil, a été tué par balle à Lille lors d’une intervention de la brigade anticriminalité, dans la nuit de mardi 24 mai à mercredi 25 mai. Son camarade Mamadou Sy, sérieusement touché à l’épaule, est tiré d’affaire.
Archives
Vous trouverez ici l'ensemble des articles publiés sur Rebellyon.info.29 Mai 2016 : 6 articles
Le Bugey C’Trip, festival « culturel et enragé », mais quand même pas féministe (faut pas exagérer)
Au Bugey C’Trip, festival qui se veut militant, des membres de l’organisation soutiennent des harceleurs qui sévissent dans leurs concerts...
Comparutions immédiates du 27 mai : deux manifestants condamnés à 3 mois ferme, d’autres à du sursis
Deux manifestant·es condamné·es à 3 mois ferme à Lyon le 27 mai, et d’autres à du sursis
Ce vendredi, plusieurs personnes passaient au TGI de Lyon dans le cadre du mouvement. En attendant un compte-rendu plus détaillé, au moins quelques infos : Deux personnes ont pris 2 mois avec sursis chacun, l’un pour avoir tenu un bâton à la main à Bellecour lors d’une fin de manifestation, le deuxième pour avoir renvoyé une lacrymo vers la police Deux personnes sont passées en comparution immédiate (...)
« L’homme au costard » balayé par un canon à eau à Bellecour condamné à 4 mois de sursis
La photo d’un canon à eau l’arrosant en costume trois pièces après la manifestation du 31 mars avait beaucoup circulé. Cet homme passait en comparution immédiate différée le 24 mai 2016 dans la 14e chambre correctionnelle au TGI de Lyon. Les audiences du 27 mai et celles du 23 mai.
Une nouvelle loi pour lutter contre le terrorisme... et mieux nous surveiller
Dans deux mois, on pourra fêter (enfin) la fin de l’état d’urgence. Ou plutôt, on aurait pu car il n’y aura pas de retour à la « normale ». Ce mercredi 25 mai, une réforme du droit pénal a été votée pour mettre en place l’après-état d’urgence. Elle prétend renforcer « la lutte contre le terrorisme et le crime organisé » mais permet surtout de faire passer dans le droit commun des dispositions de l’état d’urgence.
L’Urbain Contemporain : quand les dégradations deviennent fashion
À l’heure où La Métropole de Lyon et sa presse soumise s’échinent à nous convaincre que les tags et graffitis sont des actes de dégradation, certains s’accommodent bizarrement des mêmes dégradations. C’est le cas de l’école de stylisme Esmod Lyon, ayant inauguré le 9 mai dernier ses nouveaux locaux dans l’ancien Musée des Télécoms, rue Burdeau dans le 1er.
Construit en 1928 lors de l’automatisation du réseau téléphonique lyonnais, le central des pentes de la Croix-Rousse accueille dès (...)