Le régime baasiste syrien, confronté à un processus de contestation a choisi la répression la plus brutale qui soit, dans le droit fil de la politique de terreur qu’il exerce depuis 1970. [---]
Mais ce qui apparaît à travers ce mouvement populaire, qui réunit les opprimées syriens qu’ils soient musulmans, druzes, chrétiens, ismaéliens ou athées, c’est que l’État syrien, comme les autres États de la région craint plus une opposition laïque, et les différentes expressions de la lutte des classes (grève générale comme à Deraa) que celle d’un groupe politico-religieux.
Communiqué de la Coordination des Groupes Anarchistes concernant la situation internationale
Lire aussi Réflexions sur la révolution syrienne texte d’un camarade anarchiste syrien sur Anarkismo.net
Et, sur la Libye, le blog « En route », qui reprend du service malgré la grave blessure d’un de ses reporters, notamment Misrata. Mes copains, ma maison sous les bombes.
