Voici un passage tiré du livre Emile écrit par Jean-Jacques Rousseau il y a plus de 200 ans. J.J Rousseau amène son élève (imaginaire) Emile manger dans un repas fastueux. L’extrait est suivi de quelques commantaires de l’auteur de l’article.

A l’heure du battage médiatique des municipales, véritable piège, conditionnement des masses...

Images du Venezuela : de l’espoir d’un nouvel idéal de gauche au constat d’un processus antidémocratique. Parcours d’un militant de l’agglomération lyonnaise qui semble très déçu... malgré des avancées sociales importantes.

Voici la suite et la fin du manifeste du CLAS !!, collectif libertaire antisexiste lyonnais, dont Rebellyon a déjà publié les cinq premiers chapitres.

Jean rapproche le pouvoir des présidents d’université tel que le conçoivent les promoteurs de la loi LRU et le pouvoir des « mandarins » tel qu’analysé par Michel Foucault en 1975. Développons nos savoirs et nos pouvoirs pour que l’université se rapproche de la société sans se rapprocher de la marchandise.

La lutte des classes fait rage, des pans entiers de la société française, attaqués, précarisés et réprimés, entrent en lutte et résistent. Ce n’est évidemment pas en un mois ou en 9 jours que l’on saura qui a reculé ou qui a “ gagné ”. Nous sommes entrés en France, dans une période de luttes qui se dérouleront sur un temps prolongé et non dans une période phare.

Pour celleux qui n’ont pas pu participer à la soirée d’inauguration du Collectif Libertaire Anti-Sexiste le 24 novembre aux Bienvenus, à Villeurbanne... voici notre manifeste.

Voici la position d’un collectif d’enseignants-chercheurs à propos de la loi « LRU ». Avec une invitation à la communauté universitaire à signer l’appel.

Le principale argument du Medef, de l’UMP (et des confédérations syndicales) consiste à affirmer que la réforme des retraites est inéluctable en raison du vieillissement de la population. C’est un mensonge qui cache la clef du problème : les cotisations patronales.

Le mouvement en cours à l’université Lumière Lyon2 demande à être remis dans une perspective d’ensemble. C’est ainsi que nous proposerons ici des pistes d’analyses qui doivent nous servir à améliorer notre compréhension de notre propre mouvement.

A Lille, l’AG a voté la nécessité d’avoir sur soi sa carte d’étudiant pour participer à l’AG, à Clignancourt, les anti bloqueurs débarquent armés de barres en fer et de gazs lacrymos. Tandis que le mouvement étudiant grossit et se renforce, la réaction s’organise et se prépare. Nous devons nous attendre dès maintenant à devoir répondre à ces attaques.
Depuis quand faut-il avoir sa carte pour participer à une lutte sociale ?
Les étudiants précaires et étrangers obligés de cumuler deux (...)

Le débat concernant la loi sur « l’autonomie des universités » prend de l’ampleur dans de nombreuses facultés. Nous nous devons de réfléchir pour ne pas réitérer les erreurs du dernier mouvement social en date, le mouvement dit « anti-CPE ».

L’un des tracts les plus intéressants distribués lors de la manifestation contre les décisions du gouvernement Sarkozy, avec des photos d’un piquet de grève lyonnais des cheminots au matin du 18 octobre pour l’illustrer.

Dans ce bref article je tente de dessiner une grossière généalogie du concept de « compétition », afin de mettre au jour le caractère éminemment contingent, particulier, de notre situation actuelle. Comment expliquer que la concurrence généralisée trouve son point culminant dans notre société d’abondance ?
Cette réflexion me semble importante à l’heure où l’on entend un peu partout les aboiements des chantres d’une certaine « naturalité » de la lutte concurrentielle, marqués par les (...)

Nous vivons dans un monde où la technologie est omniprésente. Dès le plus jeune âge, nous apprenons à percevoir le développement des outils comme le fruit du “progrès”. Aujourd’hui, il nous faut tenter de déconfessionnaliser une philosophie de l’histoire où l’idéologie du progrès n’est autre qu’une théologie déguisée ; pour fonder une philosophie de l’histoire laïque, arrachée radicalement à la théologie chrétienne.

À l’énoncé des mesures à prendre pour entrer dans la décroissance, la majorité
de nos concitoyens semble présenter de fortes résistances. Matraquage médiatico-publicitaire ? Libéralisme existentiel ? Problème de vocabulaire ? Explorons quelques pistes pour comprendre ces résistances.

Ce n’est pas de gaîté de coeur que Christophe n’a pas participé aux luttes contre les OGM en Ardèche cet été 2007. Non parce qu’il critique individuellement des militants auxquels il reconnaît de grandes qualités, mais parce qu’il trouve que, collectivement, la critique telle qu’elle s’organise fait souvent fausse route, en gommant la vitalité des luttes de classes. Il propose ici une mise à jour des logiques cachées, à l’aide de la notion de « distinction » apportée par Bourdieu...

Perspectives de modification de la vie quotidienne...

Faut-il être spécialiste-historien pour parler d’histoire ? Faut-il être spécialiste-libertaire pour parler de vérité, de liberté, d’occupation, d’autogestion ? Non : s’approprier les témoignages historiques de l’émancipation sociale permet un autre regard sur notre vie quotidienne pour pouvoir être en capacité de la changer totalement. En illustration, un extrait de « De la misère en milieu étudiant », fameux texte situationniste de... 1966.

Quand un clan fait sa loi.
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