Il fut un temps où il était de bon ton parler de « Nouveaux Territoires de l’Art », un temps où la ville de Lyon souhaitait se faire voir comme une capitale européenne au même titre que Berlin ou Barcelone avec entre autres traits de caractères un lieu où l’aRT et son alternativité inhérente prennent place, pour ce faire la mairie acceptait de se faire investir les anciens locaux RVI par une flopée bigarrée d’artistes et militantes.
