Les logiques de prédation, les pressions des institutions internationales (FMI, Banque Mondiale), les intérêts des multinationales favorisent, à un rythme accéléré, des crises/catastrophes sociales et écologiques. Plusieurs exemples pourront l’illustrer : les conséquences de l’agriculture d’exportation, des politiques touristiques, de l’exploitation maritime, l’extension des industries chimiques, le problème de l’eau et des déchets etc… Même les projets dits écologiques, officiellement menés par le gouvernement et l’Etat, se révèlent être une farce. On pourra le montrer à travers l’exemple du complexe solaire d’Ouarzazate vendu à la communauté internationale comme un label écologiste aux politiques de prédation.
Au-delà des constats faits, il faut noter que nombre de mobilisations existant sur le terrain écologique sont en réalité étroitement liées aux questions sociales. Il apparaît clairement que les luttes sociales et écologiques sont indissociables. Il est donc important de réfléchir aux alternatives possibles permettant une réelle émancipation.
Nous souhaitons partager ce moment de débat avec vous pour nourrir une réflexion collective très peu présente sur le terrain politique.
Au local le « Jusqu’ici » : 169 Grande rue de la Guillotière, Lyon 7e (métro Garibaldi)
Le vendredi 21 octobre à 18H30.
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