En effet, celui-ci annonce la création d’une « application mobile de prises de notes » pour les gendarmes et les militaires appelée GendNotes. Celle-ci, toujours selon le décret, vise à dématérialiser les notes prises auparavant sur papier, « collectées par les militaires de la gendarmerie nationale à l’occasion d’actions de prévention, d’investigations ou d’interventions nécessaires à l’exercice des missions de polices judiciaires ou administratives ». À moins de ne simplement pas aimer la Gendarmerie, il n’y a jusqu’ici rien de particulièrement nouveau.
Cependant lorsque nous arrivons sur son article 2, une certaine frayeur nous envahit. En effet, nous pouvons y lire la mention de l’existence d’une « zone de commentaire libre » où pourront être enregistrées des « données à caractère personnel ». Et quelles sont elles ? Ce sont celles « relatives à la prétendue origine raciale ou ethnique, aux opinions politiques, philosophiques ou religieuses, à l’appartenance syndicale, à la santé ou à la vie sexuelle ou l’orientation sexuelle ».
>Darmanin, elle est où l’enquête sur Briefcam ?
Le 14 novembre dernier sortait une enquête du site Disclose qui démontrait que depuis 2015 les keufs utilisent en secret un logiciel d’analyse d’images israélien de la société Briefcam qui permet notamment l’emploi de la reconnaissance faciale. Gérald le violeur, notre sinistre de l’intérieur,...
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