En première instance, l’audience au TA a eu lieu devant une salle totalement vide, malgré l’appel à présence de solidarité alors fait par la FSE (alors même que 40 personnes sont venues à chaque audience pénale sur cette affaire).
C’est dans ce contexte que le TA a pu ne pas douter une seconde de la présentation faite par l’université : Sophie serait une psychopathe violente, asociale et isolée, et non une militante agissant pour la défense de ses droits, et de ceux de tou.te.s les étudiant.e.s qui sont également bafoués à travers son exemple.
C’est pour mettre en doute matériellement cette vision, que la présence de chacun.e est vitale aujourd’hui au TA.
Halte aux mandarins, réhabilitation de Sophie Perrin !
Revue de presse des articles précédents sur cette question, ici.
Rétrospective et analyse radiophonique de la situation infligée à Sophie, toute fraîche de février 2013, sur Radio Canut, la plus rebelle des radios, via son incomparable émission féministe : Lilith, Martine et les autres.
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