Le numéro 11 de la revue itinérante d’enquête et de critique sociale Z s’attaque à la question éternelle du travail social : « qui servons-nous ? » L’État dans sa volonté de contrôle où les personnes accueillies dans leurs tentatives d’accéder à leurs droits ? Les réponses politiques à la « crise migratoire » interrogent à nouveau les personnes travaillant dans le secteur social. Alors qu’elles sont incitées à prendre une part active dans de nouveaux dispositifs qui organisent le tri des exilé·es et limitent leur accès aux droits sous prétexte de prise en charge humanitaire, certaines d’entre elles choisissent la résistance.
Que cache le centre « humanitaire » de la Porte de la chapelle à Paris ?
Quel est vraiment le rôle de la fameuse « procédure Dublin » dans la gestion des exilé·es ? Quelles transformations touchant l’ensemble du secteur social se jouent dans l’ouverture de nouveaux lieux d’ « accueil » pour les exilé·es ? Les occupations de bâtiments, les blocages d’avions de déportation, les cours de français sauvages se font-ils avec, contre ou à côté du travail social ? Quel rôle les employé·es du secteur social peuvent jouer au sein du mouvement de solidarité et de lutte contre les frontières ?
Venez-en discuter avec un membre de la revue Z et des personnes
investies dans les luttes lyonnaises de solidarité avec les exilé.es
Entrée libre
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