Un peu d’histoire :
Au tout début, les proto-habitants originaires d’Afrique (homo-sapiens, Cro-Magnon...) qui se fondent avec les Celtes, qui se fondent eux-mêmes avec les romains, ensuite c’est portes ouvertes : les Asiatiques (Attila), les Slaves, les Scandinaves, les Arabes, les Berbères...
Il faut se rendre à l’évidence : tout ceux qui ont constitué le pays depuis des millénaires se sont métissés et continuent à se métisser pour une identité toujours en mouvement, terre d’immigration par vocation, et qui font de ce pays un foyer multi-culturel en assurant son évolution.
Faire un ministère de l’identité nationale ? Pour dire quoi ? Faire valoir et savoir son origine hongroise ? et que l’on est devenu roi chez les Gaulois ? ou plus sournoisement dresser les individus entre eux pour attiser leurs différences ?
Tout cela ressemble étrangement à certains gouvernements des années 40 qui faisaient vibrer le sentiment national en laissant augurer une dangereuse dérive de la démocratie.
La chasse aux parasites : le chômeur, l’opposant politique, l’immigré...
L’usage de la force par la police est l’ aveu de ne pouvoir donner comme seule réponse, la répression.
Dans un état libre, on devait pouvoir pacifiquement exprimer sa réprobation sans subir les violences d’un état qui répond par l’arbitraire et l’intolérance aux interrogations de la rue et qui lui demande des comptes.
L’arrivée du nouveau locataire de l’ Elysée laisse présager un durcissement intolérable de nos conditions de vie et pour nous et nos frères et soeurs venu(e)s du monde entier.
Soyons vigilants sur le devenir de nos idéaux et tenons-nous prêt(e)s à infléchir cette politique qui ne veut taire son nom et qui fleure bon des temps qui l’on croyait disparus à jamais.
Que le gouvernement montre son vrai visage, en reconnaissant que des centaines de personnes viennent d’être arrêtées, emprisonnées, parce que leurs combats étaient la liberté et que leur soit reconnu le statut d’opposants politiques et non de droits communs comme les médias complices le répètent jusqu’à écoeurement.
Pour que notre espace de vie reste vivable, résistons au quotidien !
PARLONS EN AUTOUR DE NOUS AVANT QU’IL NE SOIT TROP TARD !
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