Pour résumé et reprendre les faits cités par d’Attaque :
Mauvaise surprise ce samedi 18 octobre pour le député Rassemblement national de la 8e circonscription Jonathan Géry. Alors que l’élu avait prévu un apéritif parlementaire à 11 heures, dans la salle Déchelette à Amplepuis, les membres de son équipe ont constaté à leur arrivée vers 9 heures que la serrure était bloquée par de la colle, rendant son accès impossible. Un tag, « Racistes dehors », recouvrait le sol devant l’entrée et des autocollants antifascistes avaient également été posés sur les murs.
« Le maire d’Amplepuis et un adjoint sont venus et la serrure a pu être débloquée », raconte Jonathan Géry, qui a ensuite pu organiser son rassemblement, où des militants étaient conviés. Pendant ce rendez-vous, des gendarmes étaient présents à l’extérieur pour éviter toute perturbation. […]
Contacté par Le Progrès, le maire René Pontet a annoncé son intention de déposer une plainte après ces dégradations.
On apprends également dans un article de Le Pays et plus ou moins la même chose (sur rvradio en audio) :
Cela n’a pas empêché le parlementaire de tenir sa réunion publique qui a rassemblé majoritairement des sympathisants mais aussi quelques habitants et des élus. Même si à l’extérieur, les gendarmes « ont maintenu à distance une poignée d’antifas » pour éviter tout débordement, selon Jonathan Géry.
« Je ne suis pas intimidé et je constate juste que l’ultra gauche est toujours aussi violente avec ceux qui ne partagent pas leurs idées », a expliqué le député qui a indiqué que le maire d’Amplepuis avait porté plainte, contrairement à lui.
C’est la première fois que des incidents de la sorte se produisent lors d’une manifestation organisée par l’élu rhodanien depuis son élection en juilet 2024.
On peut constater que les torchons locaux n’hésitent pas à donner la parole aux fascistes et à rapporter leur parole sans autre analyse de leur discours et des évènements, comme à leur habitude ce n’est que de la victimisation. On constate aussi que des élus locaux non-RN sont bien évidemment disponibles pour l’occasion. Comme quoi le front républicain n’engage pas grand monde.
On remarque cependant, que cela semble être la première fois que les fachos sont « dérangés ». Et c’est la qu’est tout le sucre de cet évènement.
Il est critique de créer et de développer les oppositions rurales radicales comme celles-ci. Soutien aux camarades qui se sont lancés là-bas, et à tous les autres qui ne sont pas (encore) médiatisés.

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