La vidéo-surveillance ne peut pas tout régler. Elle a beau pulluler au centre commercial de la Part-Dieu, elle ne peut rien faire contre la multiplication, apparemment, des « nuisibles » : souris, cafards, rats…
Dans l’arrière-boutique du magasin Loisirs et Créations, une responsable retire des dossiers des étagères : « Là, c’est un trou qu’avaient fait les souris et que j’ai rebouché. Mais il y en a un nouveau qui est apparu ailleurs. C’est un problème récurrent, car notre mur est mitoyen avec un quai de chargement d’une grande surface alimentaire. On a le sentiment que l’on n’en viendra jamais à bout. »
Source : Le Progrès
Et ce n’est pas nouveau, les salariés du temple-bunker de la consommation dénonçaient déjà le phénomène en décembre.
Comme un écho au dernier film de Cronenberg, Cosmopolis, où les rats pullulent dans la ville à côté des limousines de Wall Street. A tel point que les traders du film rêvent du « rat » comme monnaie internationale, symbole d’un capitalisme arrivé à son extrême limite.
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