Accusé d’avoir hébergé deux dirigeants de L’ETA dans sa maison près de Mauléon (pays Basque), le poète et chanteur basque Peio Serbeille, qui était emprisonné à Angoulême, a vu sa demande de remise en liberté acceptée par le « juge des libertés » ce lundi 30 janvier.
La semaine dernière encore, la juge anti-terroriste chargée de l’enquête l’entendait et a perquisitionné son logement pour la deuxième fois, un an après, à la recherche de documents.
Nous remercions tous les soutiens qui nous ont aidé pour le concert du mois de septembre à Valence et remercions tous les gens qui ont méprisé les campagnes incessantes de calomnies racistes contre les basques.
Vive Peio Libre !
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