Une fois encore, la bande de Gaza se retrouve au centre de l’actualité.
Si les violences du début de semaine n’avaient pas attiré les media, habitués à l’embrasement de cette minuscule frontière, la situation a changée depuis avant-hier soir.
L’assassinat par Israël de Ahmed Jabari, chef de la branche armée du Hamas a sonné comme un gong. Les projecteurs médiatiques se sont à nouveaux braqués sur cette région. Et voilà les IDF (« Israel Defense Forces ») et les mouvements de résistance palestiniens prêt à en découdre dans un nouveau round de violence aveugle et destructrice.
Nous ne nous lancerons pas dans un article de fond cette fois ci. Car sur la situation en Palestine, tout le monde s’est déjà fait sa petite idée. Les médias sont depuis bien longtemps un terrain d’affrontement de prédilection des Israéliens et des Palestiniens. Et à ce jeu les rôles sont depuis bien longtemps répartis. Penchons-nous sur les déclarations de quelques seconds rôles de ce nouvel acte, seconds rôles qui possèdent en partie les clefs d’une éventuelles sortie du conflit : les dirigeants des pays occidentaux.
>Les chars sont entrés dans Rafah
Les chars israéliens sont entrés dans Rafah. C’est un nouveau carnage guerrier et humanitaire qui commence, un nouveau cran dans la politique de destruction des Palestinien⸱ne⸱s. L’UJFP appelle à rejoindre et à démultiplier les actions pour imposer des sanctions internationales.
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