<I>Le Plan B</I> : une alternative à la presse qui ment

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Pour la première fois depuis l’invention de l’imprimerie, une publication détruit ce qui vous opprime et éclaire ce qui vous libère.

Pourquoi Le plan B ?
Parce que les médias, les responsables gouvernementaux, bon nombre d’intellectuels et d’artistes caquettent depuis un quart de siècle et il n’y a pas d’alternative à l’ordre économique qui les engraisse ; qu’il faut s’y adapter ou périr, subir et se taire, ou alors faire de l’humanitaire. L’alternative - « le plan b », comme bonheur, bataille et baba au rhum - ne s’échaffaudera qu’à condition de briser le voile de l’idéologie dominante et de révéler ce qu’il obscurcit.

Journal de critique des médias, le Plan B informera sur l’information. Il enquêtera sur ce que vous lisez, voyez ou entendez dans la presse dominante. Connivence et invités permanents, racolage et racisme social, pensée de marché et impunité des oligarques de la presse : les médias réduisent la bataille d’idées à une enfilade de débats bidons, et circonscrivent les questions politiques à l’affrontement entre les tenants du libéralisme social et les partisans du social-libéralisme - on l’a vu lors du referendum. Le Plan B n’épargnera ni la gauche qui capitule ni les artistes tirelires, pas plus que les intellectuels de télévision et les chefs narcissiques de la contestation.

Journal d’enquêtes sociales et de reportages, Le plan B informera sur ce que les médias occultent. Le travail : ceux qui en cherchent, ceux qui en pâtissent, ceux qui en profitent. La vie ordinaire : les péripéties quotidiennes d’un habitant d’une cité, la fermeture d’un camping, une nuit dans une hutte de chasseurs, les bombances des riches dans la baie de Monte-Carlo. Mais aussi l’État policier qui s’étire, l’État social que des gouvernements successifs rabotent sous les hourras des patrons (qui plastronnent). La résignation, la colère, l’histoire, les luttes. Car Le Plan B rappellera que ce qui est...n’a pas toujours été. Et que des sans-culottes suspendent parfois aux révérbères les hérons empanachés.

Le Plan B ne deviendra pas un sac-à-pub. La publicité commerciale est proscrite de ses colonnes. Plutôt crever que de ressembler, même de loin, au Gala pour riches qu’est Le Nouvel Observateur ou à son petit cousin branché Les Inrockuptibles !

Le Plan B sera une oeuvre collective, attentive à ne pas servir de marchepieds aux seuls rédacteurs : ses articles ne seront pas signés, mais les noms de tous les contributeurs figureront dans l’encadré administratif du journal.

Le Plan B appartiendra à ceux qui y travaillent. Une Sarl de presse à été constituée. Son capital (de 2200 €) est réparti à parts égales entre les 20 fondateurs et les deux associations PLPL et Fakir. Tous disposent d’une voix à l’assemblée générale.

Extrait de PLPL - janvier 2006 - numéro spécial - page 1

P.-S.

Le Plan B, 10 rue des Haies, 75020 Paris.

www.leplanb.org (ouverture sous peu)

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