Ce n’est pas parce que Nicolas Sarkozy revient au sinistère de la police et que ses toutes premières déclarations visent les « invisibles » : sans papiers, demandeurs d’asile qu’il faut baisser les bras !

Le capitalisme, quand il ne tue pas simplement, met à la rue, sur les chemins qui mènent à nos villes, à nos campagnes les plus “ fragiles ” d’entre nous. Fuyant la guerre, les violences des Etats ou tout simplement la misère, femmes, hommes et enfants se retrouvent ainsi isolé-e-s, cibles de tous les trafics, tous les marchandages des politiques démagogiques ou racistes et de patrons véreux...

 À Villeurbanne, la solidarité s’organise pour ne pas laisser les demandeurs d’asile à la rue ;

 Une première réunion de tentative de convergences des luttes de soutien aux migrant-e-s a eu lieu et laisse l’espoir de renforcer ces luttes dès la rentrée de septembre ;

 Agir c’est tout de suite : évitons l’expulsion d’un enfant le 14 juin, et le 15 c’est autour d’une action de soutien aux tchetchènes.

Afin de mieux comprendre ce qui se passe, une analyse proposée par le collectif Poudre d’escampette : « Un camp pour étrangers et étrangères... c’est quoi ? »

Également sur Rebellyon, une rubrique qui recense les initiatives de soutien, les actions entreprises...