Depuis plus d’un an maintenant le prélèvement ADN est entré en vigueur en Italie dans le rituel d’identification des personnes arrêtées ou incarcérées. Les compagnon-nes emprisonné-es suite aux dernières opérations répressives n’y ont pas échappé. Si tu veux résister au prélèvement, les flics te le prennent de force, et réussir à prendre le dessus contre les tuteurs de l’ordre et du contrôle dans les locaux de la police scientifique est plus que difficile. A suivre l’expérience d’un compagnon incarcéré à Turin suite à une action le 3 Mai, toujours en détention, et qui continue de se demander quelles pourraient-être les stratégies possibles pour s’opposer aux prélèvements.
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