Les États français et italien tentent de limiter la solidarité en judiciarisant la lutte espérant que la peur de la banqueroute individuelle permettra de remettre chacun « à sa place ». Face à ça les migrants et leurs soutiens appel à « des solidarités financières et concrètes pour s’organiser contre l’intensification de la répression de la police, de la justice et des politiques à la frontière Menton-Vintimille ». Voici le texte d’appel.