Pendant 1h, on t’embarque découvrir la Californie sous tous ses angles et visiter l’envers de la carte postale... 🏄♀️
Analyse et réflexion
Violences policières, violences d’Etat, crimes d’Etat… La révolte est un droit ! Libérons Georges Abdallah !
« Et tout le monde déteste la police ! Et tout le monde déteste la police ! ». Qui n’a pas entendu scander ce mot d’ordre en manifestations, rassemblements, occupations, lors des confrontations en tête de cortège, lors des charges aveugles des voltigeurs ou bien même lors de manifestations entières nassées par des cordons sur trois lignes de CRS surarmés et sur les dents.
Pire que l’IGPN : les « bœufs-carottes » des banlieues
Quelques constats et propositions pour en finir avec l’impunité policière, volet 3/3. A l’ombre de la tristement célèbre inspection nationale, 90 % des plaintes contre la police sont traitées par des « services déontologie » invisibles et encore plus partiaux et inefficaces. La conclusion s’impose : ils doivent disparaître.
Plaintes contre la police : cachez ces chiffres que je ne saurais voir
Quelques constats et propositions pour en finir avec l’impunité policière, volet 2/3. Les statistiques sur le traitement des infractions policières existent, mais le gouvernement les tient secrètes. En pleine campagne législative, la transparence s’impose !
Tirs de LBD : un trou dans le droit français
Malgré une dizaine de condamnations de policiers, l’usage de ces armes n’est toujours pas encadré par les tribunaux. Les suites judiciaires de la manif lyonnaise du 7 mars 2020 le rappellent : l’impunité reste la règle.
Communiqué du Comité de soutien aux inculpés du 23 septembre. Le Parquet en PLS. Les inculpés en partie relaxés.
Le procès de nos camarades antifascistes inculpés s’est déroulé le jeudi 4 novembre. Après 7h d’audience et deux heures de délibéré, le rendu de jugement a eu lieu : relaxe pour les sept sur le groupement en vue de commettre des violences volontaires contre les personnes ou de destructions ou dégradations de biens Nos trois camarades incarcérés depuis six semaines sont donc libres. Ce n’était pourtant pas gagné d’avance... Retour sur ce procès.
7 péchés capitaux de la police lyonnaise #5. « le problème (de l’impunité) de la police, c’est la justice »
Les syndicats de policiers ont bien raison de dénoncer le laxisme de la justice… en ce qui les concerne. A Lyon, un seul magistrat contrôle l’ensemble de ces affaires : un véritable « Monsieur Classement sans suite ». Son activité est surveillée de près par sa hiérarchie, probablement jusqu’au Gouvernement lui-même.
Il est impossible de soigner dans les lieux d’enfermement
Dans les CRA les violences médicales sont quotidiennes. Les unités médicales participent au système qui trie, enferme et expulse les personnes sans-papiérisées, et sont directement complices de la PAF. Le soin est par définition incompatible avec l’enfermement.
Pour une culture de la solidarité
« Face aux agressions de tous genres au sein de nos lieux, nos luttes et nos collectifs, nous pensons que la dénonciation publique peut permettre de libérer la parole de personnes qui en sont victimes et dont les voix portent moins que celle de leurs agresseur.euse.s. En revanche, nous ne pouvons la voir que comme une étape et nous refusons catégoriquement que ces dénonciations deviennent le point de départ d’une justice punitive d’abattage utilisant le fichage et le harcèlement. Nous n’acceptons pas de tels agissements dans nos luttes et dans les lieux dans lesquels nous nous organisons. »
Pas de recette miracle. Perspectives extra-judiciaires face aux agressions sexuelles
Ce texte a été écrit par les meufs de la Caisse de Solidarité de Lyon (puis validé par l’ensemble du collectif), à la suite de débats qui traversent un grand nombre de collectifs militants depuis de nombreuses années. Sans prétendre apporter des solutions définitives, il vise à alimenter la réflexion sur les alternatives à la justice étatique, y compris la gestion des agressions sexuelles.