Le Progrès nous a toujours habitué à des articles imprécis, à côté de la plaque. Mais dimanche, suite à des altercations à Saint-Étienne avec l’extrême droite, le torchon local a franchi un cap.
Il a publié un papier prenant clairement parti pour les fachos, sans aucune tentative d’éclaircissement de la situation, ni contextualisation. Bien auhttp://www.google.fr/search?hl=fr&client=firefox-a&rls=org.mozilla%3Afr%3Aofficial&q=journal+trublyon&btnG=Rechercher&meta= qΑI {/MJfhttp://www.google.fr/search?hl=fr&lr=lang_fr&safe=off&q=%22inventeurs+d%27incroyances%22&start=60&sa=N qΑI ` _Ihttp://www.google.fr/search?hl=fr&q=qu%27est+ce+que+la+greve&meta=&aq=f&oq= I %.\Jhttp://www.google.fr/search?hl=fr&safe=off&client=firefox-a&rls=org.mozilla:fr:official&hs=jDI&q=journaux+gratuit+lyon&start=10&sa=N dre aux provocations« et, en bons nationalistes comme Le Progrès les aime apparemment, ils ont préféré »entonner la Marseillaise« . Et ces méchants extrême-gauchistes (le vocabulaire »antifasciste« semble totalement étranger au Progrès, qui veut bien consacrer des pages et des pages aux commémorations du 11-Novembre, tout en en oubliant radicalement tout le contexte politique) qui continuaient à chercher des noises à ces »patriotes" !
Un peu plus tard, une cinquantaine de jeunes du Front National, réunis en formation comme chaque année à Saint-Etienne ont participé à la manifestation du 11 novembre qui se déroulait place Jean-Jaurès. Alors que les personnes présentes se rendaient place Fourneyron, les jeunes du FN ont quitté dans le calme le cortège au niveau de la place Dorian, repliant les drapeaux, pour se rendre dans leur local. Ils ont une nouvelle fois été pris à partie par une vingtaine de personnes se revendiquant d’extrême gauche mais les forces de l’ordre sont rapidement intervenues pour s’interposer entre les deux groupes et tous se sont séparés sans qu’aucun affrontement n’est eu lieu, les jeunes du FN refusant de répondre aux provocations et préférant entonner la Marseillaise.
A noter enfin que les représentants de l’extrême gauche ont continué à chercher l’affrontement dans l’après-midi.
Si vous étiez présent-e-s ce dimanche à Saint-Étienne et avez d’autres informations sur ce qu’il s’est passé, notamment les poursuites judiciaires des antifascistes, merci de les indiquer dans les compléments d’information ci-dessous.
Il n’est pas possible de laisser passer ce genre d’article dans une presse locale qui reste très lue, bien qu’elle soit mal en point. Sauf explication de la part du quotidien régional, l’antifascisme a clairement, depuis ce dimanche, un nouvel ennemi.
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