Attention, danger : Masculinisme !

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Un moment fondateur du masculinisme est la tuerie de l’école Polytechnique, à Montréal (Québec). Le 6 décembre 1989, Marc Lépine a tué 14 femmes avec une arme à feu en criant « J’haïs les féministes ! ». Il a laissé derrière lui une lettre expliquant que les femmes ont pris trop de pouvoir dans la société, et notamment les femmes exerçant des métiers traditionnellement masculins, telles les ingénieures visées ce jour-là.

La plupart des masculinistes aujourd’hui préfèrent éviter de parler de ce sujet, bien que les plus radicaux soutiennent ouvertement le geste de Marc Lépine ; en général, ces hommes préfèrent soigner leur image publique pour se donner un air acceptable...
Se définissant comme hoministes, homistes voire antisexistes, ces hommes développent en fait des idées profondément antiféministes. Travaillant leur image, ils préfèrent avancer masqués et sont très actifs sur internet (par exemple, ils contrôlent les entrées « hominisme », « masculinisme » et « misandrie » sur wikipedia).

Des thèmes qui vont à rebours des luttes féministes :

- la défense des pères séparés, pour imposer systématiquement une garde partagée des enfants. Dans de nombreuses situations de divorce pour violences conjugales, cela permet à l’ex-conjoint violent d’imposer à l’ex-conjointe une proximité géographique, et donc de garder un contrôle sur elle. En revanche, les masculinistes ne font rien pour dénoncer l’inégal partage des tâches dans le travail ménager et dans l’éducation des enfants. De même, ils ne font rien pour modifier l’inégal partage des tâches dans l’éducation des enfants à l’intérieur des couples séparés (par exemple, le fait qu’en cas de garde partagée, les mères s’occupent encore de l’éducation, de la santé et de l’habillement des enfants alors que les pères s’investissent dans des activités de loisir). Ils militent en outre contre la pension alimentaire versée à l’ex-épouse par l’ex-mari dans le cas de revenus inégaux.

- la négation des violences faites aux femmes et la défense des hommes ayant agressé des membres de la famille. Par exemple, il s’agit de remettre en cause systématiquement les statistiques de violences faites aux femmes, voire de considérer qu’il y a autant d’hommes victimes de violences conjugales que de femmes. La défense des hommes violents passe par la théorie des « fausses allégations massives » selon laquelle la plus grande partie des femmes portant plainte pour viol sont des menteuses.

- la remise en cause de l’existence de maisons d’urgence pour femmes violentées (diffusion sur internet des adresses des centres d’hébergement d’urgence pour permettre aux conjoints violents de retrouver les femmes, mettant en danger ces dernières).

- la mise en avant de « discriminations contre les hommes » et de « sexisme anti-homme » (comme d’autres, à l’extrême-droite, parlent de « racisme anti-blanc ») sans prendre en compte la réalité sociale de la domination masculine. Cela les amène à militer contre le 3919 (numéro d’urgence sur les violences faites aux femmes) au motif que seules des femmes répondent aux appels.

Des bases idéologiques antiféministes :

- Pour eux, la société actuelle est caractérisée par l’égalité entre femmes et hommes, voire, pour les plus radicaux, elle est matriarcale. Cela ne prend ni en compte les violences toujours très répandues contre les les femmes, ni que les pouvoirs politiques et économiques restent entre les mains des hommes ; de même, cela ne prend pas en compte la persistance de la répartition inégale du travail domestique dans chaque foyer.

- Nier la permanence de la domination masculine permet aux masculinistes de victimiser les hommes. Ainsi, ils évitent se remettre en question en tant qu’hommes et militent pour capter des ressources (subventions notamment) à leur profit.

- Enfin, ils adoptent une vision essentialiste des rapports sociaux de genre. Pour eux, il existe des différences naturelles entre femmes et hommes qui justifient les différences sociales. Cela leur permet de nier toute participation dans la domination masculine, mais aussi d’invoquer une soi-disant complémentarité entre femmes et hommes, fondant ainsi la nécessité pour chaque enfant de voir son père, et ce même en cas de divorce, même lorsqu’il est accusé d’agression dans le cadre de la famille.

Un aperçu des différents groupes masculinistes :

- Les groupes de parole : il s’agit ici de groupes non-mixtes hommes, parfois issus de groupes non-mixtes d’hommes proféministes (comme les Nouveaux Guerriers). Ces hommes se réunissent pour parler de leurs vies, de leurs émotions, de leurs rapports au corps... Beaucoup de choses qui font envie, dont on se dit que c’est un pas en avant. Seulement, faute de bases antipatriarcales, cela tourne systématiquement à la victimisation des hommes et à la dénonciation du féminisme. Ils effectuent une transformation de la domination masculine, rejetant certains aspects de la masculinité pour en valoriser d’autres – sans prendre en compte le fait que la masculinité elle-même est une position de pouvoir. Ces groupes de parole peuvent d’intervenir sur la place publique ; par exemple, le Réseau Hommes (créé par Guy Corneau, auteur du best-seller Père manquant, fils manqué) a organisé en 2011 plusieurs projections publiques à Grenoble, soutenues par la mairie.

- Les groupes d’action juridique : Cela concerne surtout les pères séparés (par exemple, SOS papa et le Mouvement de la Condition Paternelle), mais aussi les hommes victimes de violences conjugales (SOS hommes battus, qui a tenu son premier colloque à Paris samedi 22 octobre 2011). Pour les besoins de la défense devant les tribunaux, ils développent un argumentaire masculiniste très efficace. Par exemple, cela consiste en nier les violences masculines pour mettre l’accent sur les violences des femmes au sein du couple ; en cherchant à prouver que les femmes mentent quand elles dénoncent des violences conjugales ; en développant la théorie du Syndrome d’Aliénation Parentale (censée montrer que ce sont les épouses qui manipulent les enfants quand ceux-ci dénoncent les violences subies par leurs pères). À Lyon, il existe le Groupe d’études sur leS sexismeS (GES), qui s’évertue à prouver que les hommes sont autant, sinon plus, victimes de discriminations que les femmes ; ce groupe a tout récemment tenu une conférence publique au sein de la Quinzaine pour l’égalité entre les femmes et les hommes organisée par la région Rhône-Alpes en octobre 2011, dans laquelle il a défendu l’idée d’un « sexisme anti-homme » (de la même manière que d’autres, à l’extrême-droite, soutiennent l’idée d’un « racisme anti-blanc »).

- Le lobbying parlementaire et l’action publique de rue sont aussi des moyens d’action de l’association SOS papa.

- Les théoriciens masculinistes sont nombreux, il s’agit ici d’en citer les principaux – quand on croise leurs noms, il faut souvent chercher entre les lignes pour comprendre le fond de leur pensée. Guy Corneau, psychanalyste, ayant déjà été cité plus haut, il convient d’ajouter Yvon Dallaire, l’un des plus fervents défenseurs du terme « hominisme », psychologue et sexologue. Il faut aussi nommer des experts juridiques auprès des tribunaux, tels Hubert Van Gijseghem et Paul Bensussan. Dans le cadre universitaire, les chercheurs Gérard Neyrand, Éric Verdier et Daniel Welzer-Lang développent clairement des théories masculinistes. Enfin, sur le plan médiatique, il faut citer Georges Dupuy, Éric Zemmour et Alain Soral, trois personnalités ayant chacune signé des ouvrages difficiles à lire tellement ils sont remplis d’insultes contre les femmes et, plus particulièrement, les féministes.

Face à ce mouvement, il convient de rappeler quelques bases concernant la société actuelle : Le patriarcat existe toujours, et il est reproduit par les hommes dans leur propre intérêt. Si, dans certaines situations, les hommes peuvent être victimes de violences de la part de femmes, cela est sans commune mesure avec les violences des hommes envers les femmes ; de plus, dans une société patriarcale, la signification sociale des violences masculines est complètement différente de la signification sociale des violences féminines.

En effet, si les premières ont pour but la perpétuation d’un système d’oppression, les secondes sont une résistance à ce système. Par exemple, en 2010, 146 femmes sont décédées sous les coups de leur compagnon, alors que 28 hommes sont décédés sous les coups de leur compagne. Il faut préciser que dans une très grande majorité des cas, les femmes qui ont tué leur compagnon l’ont fait en situation de légitime défense, soit parce que ces derniers les battaient à ce moment-là, soit parce qu’ils les battaient régulièrement.

La propension des hommes à se victimiser est aisément compréhensible : Le genre, en tant que système de pouvoir qui divise l’humanité en deux sexes distincts, s’impose aux femmes et aux hommes. Les hommes, aussi, ont l’impression de devoir « coller à un rôle ». Cependant, ils oublient vite que le rôle qu’ils adoptent, individuellement et en tant que classe de sexe, est celui du dominant. Il est plus aisé de se considérer comme victime que comme agresseur, et donc de mettre l’accent sur la difficulté à adopter le rôle d’homme plutôt que de mettre l’accent sur ses propres comportements dominants. En tant qu’homme moi-même, cela m’a particulièrement frappé en non-mixité hommes, que ce soit dans le milieu masculiniste auquel j’ai eu accès ou dans le milieu proféministe dans lequel j’évolue. La conséquence est que le patriarcat n’est jamais attaqué frontalement par les hommes, tant qu’ils ne sont pas contraints à regarder en face leurs propres comportements oppressifs.

P.-S.

Quelques références :

- Une rapide description du masculinisme, par Hélène Palma :
La percée de la mouvance masculiniste en Occident.

- Une description détaillée du masculinisme existe en brochure :
Un mouvement contre les femmes. Identifier et combattre le masculinisme.

- Une émission de radio a été réalisée tout récemment par Dégenrée, émission féministe grenobloise.

- Un article paru sur Rebellyon à propos de la tuerie de l’école polytechnique.

- Un compte-rendu d’une projection publique co-organisée par les masculinistes des Réseaux Hommes et la mairie de Grenoble.

Et en livre :

- Mélissa Blais et Francis Dupuis-Déri, Le mouvement masculiniste au Québec. L’antiféminisme démasqué, Montréal, Éditions du Remue-Ménage, 2008.

- Mélissa Blais, « J’haïs les féministes ! » le 6 décembre et ses suites, Montréal, Éditions du Remue-Ménage, 2009.

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  • Le 14 mars 2013 à 09:07, par marie66

    exposer les faits qui ne concernent que moi, la mère ainsi que des hommes en robe, magistrats à Perpignan et à la cour d’appel de Montpellier.

    En 2000, après 10 ans de mariage, je suis obligée de demander le divorce suite au comportement devenu intolérable de mon ex mari. Ma fille a alors un an. La résidence des enfants m’est confiée par la justice lors de l’audience de non conciliation.

    Le père des enfants est très riche et propriétaire d’un patrimoine important : le foyer est assujetti à l’ISF possède des titres de propriétés parisiennes intra muros et des justificatifs de revenus importants. Mon ex mari change 3 fois d’avocat en 4 mois et prend soudain comme avocat un membre médiatique de SOS Papa : un acharné de la garde alternée du SAP et de la mise à mort de la femme. Les deux hommes sont francs maçons.

    A partir de ce moment un scénario horrible va m’être donné à vivre. Je suis violentée par mon ex mari. La violence est telle que je suis forcée à 20 jours d’ITT. Je peux produire les certificats médicaux ainsi que d’autres attestations pour différentes agressions. Pour me contraindre à me taire sur certains faits, « on » me met des stupéfiants dans ma voiture et « on » produit de faux témoignages contre moi. « On » me calomnie également pour tenter de me discréditer afin de me retirer la garde des enfants auprès du JAF. On vide également mes comptes bancaires. Mon calvaire va durer 6 ans avant que le divorce soit prononcé définitivement en cour d’appel.

    Je dispose de tous les courriers et preuves de ce que j’avance !

    Au total, une dizaine de plaintes sont déposées pour coups et blessures, intimidations, menace de mort et calomnies. J’ai produits des témoignages qui attestent les faits, de la part de fonctionnaires, de médecins, etc … Souvent je me retrouve moi même accusée de ce dont je porte plainte.

    En 2002, le père enlève ma fille de 2 ans et l’emmène au Mexique et ce malgré une interdiction de sortie du territoire émanant du JAF. Odieux chantage du père : ma fille me sera rendue que si je me tais.

    TOUT est classé sans suite par le procureur que j’ai pourtant maintes fois alerté. Des hommes de mains sont payés pour me nuire, je porte plainte en vain et en vain. J’ai également porté plainte contre l’avocat de mon ex mari, très influent mais aussi fraternellement ami de mon ex.

    Je remarque que dans tous les courriers adressés à la justice par la partie adverse, les signatures à trois points étaient présentes (marque des franc maçons). De la même manière on retrouve des signatures à trois points lorsque mon ex mari est auditionné en gendarmerie. J’ai partagé mon inquiétude avec le procureur concernant ces marques franc maçonniques en lui adressant un courrier. Je me vois alors convoquée à la gendarmerie où on me produit mon courrier au procureur, retourné et on me fait comprendre que si je continue à insister dans ce sens, je n’aurai plus la garde de mes enfants : il fallait que je cesse de parler de franc maçonnerie !

    Durant tout ce temps, la procédure de divorce s’éternise.

    En 2006, malgré toutes les preuves évidentes de violence, l’enlèvement de ma fille, les plaintes déposées (et je ne vous ai pas TOUT raconté ici car peut être que des faits pénalement répréhensibles seront un jour étudié) je suis condamnée, à un divorce pour faute !

    Je me retrouve jetée à la rue avec mes enfants sans voiture. En effet, pendant la procédure de divorce, le domicile familial a été vendu par mon ex malgré le fait que ce domicile était protégé par un contrat.

    Le comble est que malgré sa fortune et ses revenus le père a obtenu l’aide juridictionnelle pendant les 6 ans de procédure. Cette aide a été mise en place par son avocat (celui de SOS Papa) alors que mon ex mari est multi millionnaire . J’ai alerté la justice et fourni les preuves de ce fait, mais rien n’y a fait !

    Dégoutée et anéantie, je me suis attachée à reconstruire ma vie car je n’avais plus rien de mes 10 ans précédent, qu’il avait vidé les comptes joints, qu’il ne payait pas la pension alimentaire. Il continuait à revendiquer la résidence des enfants. Je pensais n’avoir qu’à tourner la page et à encaisser de temps en temps un de ses multiples coups bas. J’ai tout recommencé à zéro, racheté une maison à crédit et me suis réinstallée dans une vie presque normale.

    En 2011, ce fou ressaisit la justice et me demande la somme avec laquelle j’ai, soi disant, acheté ma nouvelle maison. Mais JE L’AI ACHETÉ A CRÉDIT !!!

    Je décide voyant la tournure que cela prends de cesser de payer le crédit de ma maison. Je la laisse vendre aux enchères. Je jette l’éponge ! Je laisse la procédure du fou se faire et cette fois je suis sûre que la justice va se rendre compte que cet homme est un escroc. Un expert est nommé et dans son rapport il mentionne correctement que la maison est acheté a crédit. Contre toutes attentes, je suis condamnée à lui rembourser la maison malgré le rapport de l’expert agrée à la cour.

    En 2012, la plus jeune de mes enfants voit un psy chaque semaine depuis presque 1 an. En effet elle présente depuis 2 ans des troubles. Lorsque mon ex mari l’apprend, il ne me rend pas ma fille après son droit de visite qu’il exerce lors des vacances de l’été 2012. Naturellement, JE REPORTE PLAINTE. Je présente au procureur l’ensemble de mon histoire (les faits précédents de 2000, 2006 et 2011) en lui apportant toutes les pièces en ma possession (dont certaines « égarées » par la cour, au moment de l’audience , me sont revenues plus tard). Naïve, je croyais que le procureur allait comprendre l’énormité des faits à la lumière de cet historique édifiant et du personnage de mon ex mari. A nouveau, la plainte est classée sans suite !

    Novembre 2012, au bout de 6mois sans ma fille alors que j’en avais la résidence, je suis allée la récupérer sans l’aide de la justice. Elle est avec moi et je me remets peu à peu. Je vis toujours dans la crainte qu’il la fasse enlever à nouveau puisqu’il en a les moyens. J’avais écrit au juge pour enfant lors de la non présentation d’enfant. La justice n’a pris aucune mesure pour récupérer l’enfant. Le juge a ordonné une enquête pour la protection des mineures. Etrangement, c’est chez moi que l’enquêtrice vient en premier. Elle me questionne, je lui montre tous les doubles de mon histoire. Elle ne dit rien. Elle revient et ……. cela fait 5 mois et elle n’a toujours pas rencontré le père. Que répondre à ma fille lorsqu’elle me demande : « Pourquoi elle est toujours là ? » De plaignante et protectrice, je deviens l’objet d’enquête. L’enquête semble s’orienter à charge contre moi. Je devine la suite sans difficulté.

    Donc il est très riche, il est dangereux, il est franc maçon, il est conseillé par SOS Papa et je ne peux rien. J’ai tout perdu et plus rien à perdre ni à gagner.

    Je ne veux pas que cette histoire se reproduise pour d’autres personnes. Je montrerai l’entièreté de ce dossier à qui veut prendre la peine de s’y pencher. De plus ce dossier est détenu par une trentaine de fonctionnaires et d’autres amis qui ont suivi toute cette horrible histoire depuis le début.

    Encore un dernier mot à propos de SOS Papa

    Je sais que SOS Papa l’a entrainé au début dans ce scénario. L’avocat de mon ex était un chantre de la garde alternée, de la garde pour le père, du SAP (syndrome d’Aliénation Parental). Il en écrivait des livres, se montrait partout dans les médias. Il en va de même que dans l’affaire Devaux, ils se connaissent, tous les anciens fondateurs de SOS Papa. L’association est dangereuse, car je les ai alerté et n’ont rien fait.

    D’autres mamans ont subi les mêmes méthodes, en plus tout ce petit monde a des appuis politiques. Ils reçoivent des aides et des criminologues les conseillent ainsi ils arrivent toujours à retourner la situation à leur avantage.

    Pour la maman, les pires scénarios se passent quand le père a de l’argent et est récupéré par SOS Papa. Les autres pères moins riches sont leurs marionnettes et il les font monter aux grues.

    Marie

    0

  • Le 2 novembre 2011 à 20:01, par Une membre de l’équipe d’animation de Rebellyon

    Salut !

    Pour communiquer entre vous, il est tout à fait possible, après s’être créé un compte dans l’interface collaborative, d’envoyer un message aux autres internautes.
    Pour ce faire, vous devez connaître le pseudo de la personne avec laquelle vous souhaitez communiquer et c’est parti.
    (On essaiera prochainement d’expliquer encore mieux toutes les formidables fonctionnalités du site !)

  • Le 2 novembre 2011 à 18:25

    @ hugues :
    bon, plutot que de s’envoyer des commentaires à tout-va, j’aimerais bien te rencontrer en vrai !
    si t’as un compte rebellyon, tu peux accéder à mon email ; sinon, tu peux t’en créer un...
    en espérant te rencontrer !

    LES MODERES : si hugues a laissé un email, vous pouvez me l’envoyer ?? sinon, ca sert à rien de publier ces 2 dernières lignes... merci !

  • Le 1er novembre 2011 à 14:19, par hugues

    bien.
    en effet, néophyte, sur l’article « halte aux violences sexistes » j’ai cru avoir lu quelque chose d’intéressant avec l’hominisme wiki, qui, d’après mon petit cerveau était éloigné des thèses du Masculinisme. Je me suis vu taxer de réac et de n’avoir rien à faire ici... C’est à dire dans les commentaires, et donc, impossible de tenter le questionnement. Sans ironie, il serait peut-être alors intéressant d’inventer la notion, sur Rebellyon, d’article non-mixte. Oui, donc, oui, la libération de la femme par la femme, de l’homme par l’homme et de l’humain par l’humain...* Quoi qu’il en soit, l’article ci-dessus m’éclaire un peu, mais, en parallèle de l’autre article « aux gars par un gars... » Je peux lire beaucoup de violence et de déni des tentative de recherche. Le rejet avant la construction.
    Bien, il est important de se prémunir des thèses rétrogrades. Maintenant, comment et où trouver, pour un demandeur comme moi, par ex, des thèses progressistes ?
    Les termes comme proféministe ne me parlent pas, je ne suis pas au fait du langage technique militant, et si je viens sur Rebellyon, c’est bien pour y lire de l’information, des appuis vers un chemin que j’aimerais continuer autrement que seul... En soi, la déconstruction est une information, certes... mais là, là... après ?
    Mais peut-être me trompe-je de lieu, je devrais peut-être aller voir du côté des non-violents... ainsi je pourrais peut-être écrire sans la peur au ventre, voire parler sans la peur de me tromper et pouvoir dire : je ne sais pas. (ça c’est ma légère pointe acide sur la population en noir que j’ai pu cotoyer à lyon...) :)

    * Existe-t-il alors des groupes de réflexion mixte sur la libération de l’humain dans son entier, en coopération hommes-femmes ?

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