La police charge le rassemblement contre les violences policières

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Une centaine de personnes s’était réunie ce soir à partir de 19h place du Pont. Au bout de 40mn le petit groupe s’ébranle.

Après un tour dans la guill’ aux sons de « flics porcs assassins », « police partout justice nulle part », « la police assassine, ni oubli ni pardon » et compagnie, le cortège s’est arrêté quelque temps devant le comico de Jean Macé avec quelques jets de pétards.

Les Baceux se sont alors mis en fin du cortège qui a redémarré direction saxe, puis des camions sont rapidement arrivés par les côté, les flics en descendant rapidement en mode chaud.

Le cortège a accéléré de manière groupée avant d’éclater dans les petites rues de la Guill’ qui se remplissaient à vitesse grand V de keufs de toutes sortes.

Beaucoup de gens avaient des codes d’allées ou des apparts amis et sont hors de portée de la répression à l’heure qu’il est. Mais effectivement on ne peut pas exclure que des gens aient été chopés dans le quadrillage final du quartier, affaire à suivre.

Une belle énergie collective en tout cas !

Écouter le reportage de Radio Canut dans la manif :

lire l’appel : L’État assassine ! Rassemblement

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  • Le 22 janvier 2012 à 17:49, par Un modère

    @17:28 : si tu veux interpeller les modérateurs qui déconneraient grave d’après toi, tu fais passer ton mail qu’on s’explique mieux, parce que là c’est pas évident pour nous d’expliquer nos choix.

    Ensuite, Rebellyon n’a jamais été conçu comme un forum, ce n’est pas le lieu, ce n’est pas adéquat, on l’a répété mille fois. D’autre part, la modération des articles se fait à plusieurs, mais pas la modération des commentaires. Celle-ci n’est pas facile, et on n’a pas tous et toutes la même appréhension du terme « complément d’infos » (perso sous cet article je n’aurais validé que les premiers compléments d’infos actuellement validés, les seuls à réellement compléter l’info).

    Les commentaires qui en plus de ne pas être des compléments d’infos présentent des idées non argumentés, des accusations, des préjugés, surtout à l’égard d’autres camarades, ne sont effectivement pas validés.

    Sinon, pour une réflexion qui n’est pas un complément d’info, écris un article : le but en tout cas de ces compléments d’informations n’est certainement pas de faciliter des polémiques entre militant-e-s, qui se règlent beaucoup plus facilement avec soit des textes argumentés, soit - et c’est encore mieux - en échangeant en face à face, en vrai. Et pour rappel, Rebellyon est pas mal lu, et pas que par des camarades.

  • Le 22 janvier 2012 à 17:28

    ceci est juste pour les moderateurs. vous déconnez grave. vous zappez des posts seulement parce que vous partagez pas les idées émises. on est ou la. franchement zapper des posts d’insultes, sexistes ou racistes c’est la base de la moderation mais zapper parce kon partage pas la teneur du commentaire, c’est a gerber. vous reproduisez des schemas que vous tentez de combattre.

  • Le 20 janvier 2012 à 11:54

    je vais pas aller jusqu’a dire que la personne a raison mais bon est ce que sur tous les gens qui parlent quelqun habite en banlieue. les seuls contacts, convergences qu’il y a eut entre libertaires et « banlieusard(e)s » c’est les pierres qui ont été jeté par les derniers sur les premiers pendant les emeutes de 2005 quand les totos se sont pointés pour aller les « aider ». après c’est vrai que recament certains libertaire ce sont installés en peripherie et on réussit à s’integrer à la vie de quartier mais cela résulte plus des convergences sur les ptits traffics et la débrouille que sur une vision politique de fond. donc pour moi oui, le faussé est creusé entre libertaires et banlieusard(e)s parce qu’ils ne vivent pas les mêmes réalités, n’ont pas les mêmes enjeux.

  • Le 19 janvier 2012 à 22:37

    +1 c’est quoi ces cliches sur les banlieues ?
    pour ton information il y a toujours eu a lyon des contacts entre militants « de banlieue »
    (deja dans les annees 90 MIB ,divercité ,agora etc) et des individus libertaires
    effectivement le mouvement libertaire est tres minoritaire en banlieue ,tres minoritaire chez les ouvriers des villes et des campagnes,en general tres minoritaire dans tous les secteurs de la societe ,et tres minoritaire sur la planete (on est quand meme 8 milliards ,et le mouvement anarchiste represente au plus quelques dizaines de milliers de personnes).
    C’est pas pour cela qu’il faudrait s’enfermer dans un guetto culturel d’etudiants radicaux ,de punks crustys ou de skins cenetistes suivant les villes...(en caricaturant bien sur)
    Au contraire ,ca doit amener a ce remettre en question et aller vers les autres pour essayer d’avoir une influence constructive sur le reste du monde.
    pour moi les « militant perchés » comme il est dit plus bas sont ceux qui s’enferment dans leur petit ghetto culturel pour s’ecouter parler entre convaincus.
    le mouvement libertaire se compose principalement de gens issus des classes moyennes et eduquees ,mais compte aussi des gens moins nombreux venant du proletariat ,des cites ,aussi parfois des gens issus de la bourgeoisie (et je ne leur jetterai pas la pierre ,car personne ne choisit la classe sociale dans la quelle il va naitre).Ce mouvement qui a pour but de defendre les opprimes se doit d’aller vers eux ,et beaucoup de militants font ce travail de terrain en joignant des luttes diverses.Il y a bien de facons de militer ,et le faire uniquement au sein d’associations purement libertaires a ses limites .(il y a des greves ,des luttes de chomeurs ,des luttes de quartier etc etc ..ou les libertaires sont presents sans chercher a s’afficher en tant que tel.)

  • Le 19 janvier 2012 à 19:50, par S.

    A 00h39

    Quels clichés !
    Dans les milieux libertaires comme tu dis, il y a des gens qui habitent, qui ont habité dans les « cités » dortoirs.
    Dans les banlieues HLM, il y a des luttes. Suffit de s’y intéresser pour se rendre compte qu’elles existes. Il y a les militant-e-s PC, qui n’ont pas disparu. Il y aussi des militant-e-s libertaire, qui font pas un communiqué à chaque fois qu’ils et elles font quelque chose...

    Mais comme partout, ils et elles sont très minoritaires. Comme dans les quartiers populaires de centre ville en général, même si il y a parfois des exceptions...

    En 2005 par exemple il y avait eu des initiatives sur Vaulx contre l’Etat d’Urgence, auxquelles participaient des camarades.
    Moi à l’époque j’étais dans un quartier pourri de la petite couronne en Seine Saint Denis (pas une cité), et ça nous a pas empêché avec quelques camarades d’aller sur les grosses cités de la ville discuter avec les genTES, qu’on croisait aussi sur les luttes (logements, grèves) et au marché...
    Il y a un certain nombre de camarades en Seine Saint Denis qui font un boulot de fourmi dont t’entendras jamais parler à la télé...
    A Saint Denis par exemple en ce moment y a une grosse lutte suite à l’expulsions de plusieurs squats historiques de la ville (pas des squats « politiques », hein !)

    Bref faudrait arrêter de considérer les cités dortoir comme un monde à part. Dans les cités, y a les mêmes clivages politiques qu’ailleurs, peut être pas toujours avec les mêmes mots, mais comme ailleurs les genTEs ils s’intéressent à ce que tu fais et propose que si ça leur parle...
    Le mouvement libertaire n’y est pas assez présent, mais il est pas assez présent non plus dans les boites, et dans plein d’autres endroits (à la campagne par exemple ou des prolos, y en a plein...!)

  • Le 19 janvier 2012 à 15:20, par un habitant du 7e

    @Le 19 janvier à 00:39 :

    Si ton interpretation n’est pas dénoué de fondement (en effet, tu es loin d’être le premier à pointer le gouffre qui sépart les militants « de centre ville » des habitants « de banlieus » - comme ces termes sont laids) il me semble toutefois que tout n’est pas aussi caricatural.

    Pour reprendre un de tes exemples :
    - En 2005 lors des émeutes, des rassemblements de soutiens (duement coursés par la police) ont eu lieu à lyon (l’appel traine peut-être encore dans les entrailles de rebellyon). Quelques camarades étaients présent aux minguettes où quelques libertaires habitaient à l’époque, etc.

    - En Octobre 2010 les occasions de convergences ont été nombreuses dans les rues, et ont permis des prises de contact qui parfois ont donné lieu à de nouvelles rencontres (dans les actions antifa ou autour de soirées de soutien). Le travail effectué par les caisses de solidarité à lyon comme ailleurs, dont le suivi ne fait pas le tri entre militants et autres incarcérés, ont permis aussi à bcp de liens de se faire.

    Alors bien sûr tout est encore à faire, et le fossé est grand, mais je ne pense pas qu’il faille être fataliste, au contraire quand je compare la rue en octobre 2010 et pendant le CPE par exemple, c’est plutôt du mieux que j’y vois.

  • Le 19 janvier 2012 à 00:39

    J’interviens suite a ton dernier questionnement sur l’idée de nouer contact avec les banlieusards.
    De quel banlieusard(e)s tu parle ? Les banlieusard(e)s de cités dortoir ?
    Il me semble que les milieux libertaires n’ont jamais mis les pieds dans c cités dortoir.
    Les banlieues HLM sont des déserts politique. Il y à quelques années il y avait les communistes.
    Il me semble que le fossé est trop énorme entre la jeunesse (15-40 ans) « militante » et la jeunesse des banlieues.
    Même contre la « haine du flic » aucune convergence n’est possible. En 2005 il n’y avait aucun(e) anar à Vénissieux ou dans le quartiers des états unis et je doute qu ils aient été dans d’autre quartiers. Je n’es pas vu non plus de collectifs de soutiens ’libertaires" organiser quoique se soit dans le quartier avant ou après les émeutes de 2005. Tout simplement parce-que ça n’est pas possible.
    La dernière fois qu on ma parler d’un concert de soutient organisé dans une banlieue nord de Marseille par des anars, ils elles se sont fait chasser à coup de pierre. Moi même qui est de la famille en cité hlm, je n’aurais pas idée d’aller dans un quartier que je ne connais pas.
    Il existes des collectifs notamment à Vénissieux mais je doute qu un ou une anarchistes soit capable d’y rester plus de 15 mn.
    L’atmosphère de c quartiers sont chargé d histoires que beaucoup d’entre nous ne pourrons jamais comprendre.
    les cités dortoirs ont été oubliés par toute la société et notamment les anarchistes, libertaire, squatteur euse etc.
    Peut être mise à part quelques intellos et autre militant perché qui pensent vraiment que le bouillonnement révolutionnaire se trouve dans c quartiers.

  • Le 18 janvier 2012 à 16:13, par zoralarousse

    ""je me demande si des discutions sur des techniques de dispersions, d’« émeute », de communications dans un mouvements urbains, de gestion du stress et de la peur etc ne serait pas une bonne chose. Personnellement ça me semble nécessaire."

    Oui. D’autant que ces savoirs faire fonctionnent aussi comme une sorte de "capital guerrier", et qu’on est pour une répartition égalitaire des richesses, de toutes les richesses (nan j’plaisante…enfin presque).

    Quand tu sais depuis ado ou gamin la différence entre "une balayette" et "un direct du droit", ou bien que tu as pratiqué le rugby, tu es déjà sur de meilleurs rails que celui ou celle qui ne sachant rien de tout cela, était juste le réceptacle à coups de poings et de pieds dans la cour de récréation … et donc fuit la situation par frousse de subir encore la même chose, mais de la part de garçons devenus grands et casqués et lourdement armés, et en uniforme…

    Eux après tout, ils ont bien un tel entrainement, en face (sinon ils ne seraient pas restés à peu près de marbre devant les big projectiles envoyés sur eux samedi, dans l’attente des ordres du chef puisqu’ils ont des chefs, les CRS…).

    En revanche, j’ajouterais une chose comme nécessité : la compréhension et la bonne connaissance de comment "fonctionne" l’adversaire. C’est une connaissance importante car elle permet de prévoir un minimum ses réactions, et de s’en prémunir le cas échéant.
    Et justement, pour ce soir-là, je n’ai pas, à la réflexion, l’impression qu’ils aient agi sur ordres du préfet : vu le profil des "intervenants" (baqueux en mode cow boy, motards furax mais peu nombreux, camionnettes arrivant à toute blinde…), ça ressemble beaucoup, tout de même, aux copains qui arrivent en renfort à l’appel du comico visé par une incompréhensible agression par une meute de 50 jeunes hurlant (mais pourquoi donc ?) "flics, porcs, assassins" et accompagnés de déflagrations sonores genre pétards (mais vont-ils s’arrêter aux pétards ?).

    Côté flics de base (cas d’un commissariat de quartier comme Jean Macé), hors de Clermont Ferrand, il faut savoir que Wissam n’est qu’un accident de service pour lequel une enquête judiciaire est en cours (et risque encore de coûter la place à des collègues, pffff), et que pendant ce temps là, les flics de base comptent de leur côté "leurs morts" (et blessé.e.s) dont personne ne parle et dont tout le monde se fiche disent-ils : les morts tués par des "voyous qu’ils voulaient interpeler", et les morts suicidés par arme de service (un p’tit malaise professionnel en lien avec la politique du chiffre ?). Le tout bien sûr noyé dans les flaques de sang, bastons, suicidé.e.ss à vérifier s’ils.elles sont bien suicidés, et autres choses sordides du quotidien … sans compter les barrettes de chichon et les p’tites relations avec les p’tits dealers pour améliorer les chiffres de son commissariat. Et tout le problème, il est pas loin de là d’ailleurs : aujourd’hui, côté flics, la mort d’un type comme Wissam, c’est juste un fait divers noyé au milieu du reste.
    Un truc pas grave, quoi.
    Enfin, certainement moins grave que la mort d’un des leurs, qui est elle-même comme insignifiante dans la société.
    Je dis ça pas au hasard : je lis certains de leurs forums ouverts sur internet, et donc je vous décris vraiment la réalité concrète du truc telle qu’elle y transparaît. Pas de haine style "bien fait pour ce sale bicot", ou "une bonne racaille est une racaille morte". Juste un décès regrettable parmi tant d’autres, noyé dans le flot des nouvelles gore du jour.

    Tout ça pose la question, outre le dynamisme de l’action (qui était bien), de sa visibilité et lisibilité extérieure. Bien sûr, par ceux qu’elle vise (on vous traite de porcs et d’assassins, c’est pour ce "fait divers" dont vous n’avez qu’à peine mémoire, il s’appelle WISSAM et il est MORT), mais aussi et surtout par ceux et celles qui la cotoient : passant.e.s, etc, qui se demandaient ce qu’on voulait exactement ("vous manifestez pour que les flics n’arrêtent plus les délinquants ?". J’ai répondu qu’on manifestait parce qu’une vie doit valoir une vie, et qu’on soit "délinquant" ou pas, qu’on n’a pas à mourir parce qu’on croise des flics, ce qui est arrivé à Wissam. Mais quelle légitimité j’avais à répondre ça plutôt qu’autre chose ? Et quoi répondre d’autre ?).
    On n’avait pas de tract explicatif sur place (oui je sais, facile la critique des travaux des autres). Peut-être parce qu’on pense internet et du coup plus aux passant.e.s autour du rassemblement ?
    Bien sûr il y avait la grosse banderolle. Mais les passant.e.s lambda n’avaient pas l’air d’avoir plus noté que ça le "fait divers" non plus … on n’est pas à Clermont.

    Enfin côté parcours de manif contre les violences policières : quelle(s) cible(s) choisir ? Un commissariat de quartier ? La préfecture ? Une instance policière centrale de la ville ?
    Et comment aborder cette/ces cible(s) ? Avec des drapeaux arc en ciel et des signes peace and love ? Des pétards ? Des tracts ? Des kalachnikov ? Des projectiles ?
    Pour moi ce sont des questions à réfléchir posément, avant le jour j, et à débattre collectivement (sans recherche d’un consensus coûte que coûte bien sûr). Et avant même ces questions, qui sont des questions de moyens employés, il y a la question des objectifs : quels sont-ils lorsqu’on fait un rassemblement contre les violences policières ? De se faire des flics en retour ? De parvenir à éviter que de nouvelles victimes de violences policières décèdent ou subissent des dommages physiques graves à l’avenir ? Les deux ? Etc.

    Et puis dernière question, c’est avec qui d’autre ? Et est-ce qu’il y a une volonté et un intérêt à être avec d’autres sur ces histoires là ? Et sur quelles bases ?
    Exemple : constat de la quasi absence de banlieusard.e.s parmi nous lors de cette action. Cela serait-il intéressant d’essayer de nouer des liens avec des comités existants en banlieue pour la justice et la vérité autour des décès suite à violences policières ? Ah oui, mais si on ne veut pas de la justice bourgeoise, on n’ira pas dans ce sens, donc comment on fait ? Etc.
    Plein de questions comme cela, qui sans ce rassemblement, ne se poseraient même pas !

    Voilà c’était mon pavé (d’encre) du jour.
    J’espère qu’il ne fera pas de blessé.e.s parmi ses destinataires …

  • Le 18 janvier 2012 à 13:36, par didier Jen-Ghié

    En effet, j’ai assisté à l’éparpillement. Deux motards venant de la rue d’Anvers, sur-énervés tapant dans les vitres des voitures qui ne voulaient pas dégager, des civils qui couraient derrière munis de leurs talkies-walkies, quelques Gi Joe hargneux en tenue de combat, des fourgons à vive allure dans les petites rues de la Guill’ et quand même deux bagnoles qui faisaient des tours et des tours. Pas de doute, les chiens ont été lâchés. On aurait dit qu’ils attendaient que le feu vert de leur préfet pour « se farcir du manifestant », et dans les petites rues sombres c’était du gâteau pour eux par rapport à l’avenue.

  • Le 18 janvier 2012 à 10:58, par nerpro

    salut.
    Il s’agit d’un camarade et non d’une camarade. ( si tu te souviens pas de moi)
    Je n’es pas individualisé le récit car je n’y voyait pas d’intérêt. Effectivement, hier soir j’étais tout autant énervé de cette action que le déploiement policier.
    C’était l’occasion aussi de rappeler se qu il ne faut pas faire dans se genre de circonstance.
    Dans une manif regroupant pleins de gens diffèrent il est « normal » de voir se genre de geste mais dans cette situation, il s’agit du même « public » qui pour beaucoup on déjà vécu des situation similaires qui peuvent laisser penser que des réflexions ont déjà été discuté pour ce genre de situation.
    Les conséquence aurait pu être grave : ( blessure, serrage, garde av, prison peut etre ...).
    je me demande si des discutions sur des techniques de dispersions, d’« émeute », de communications dans un mouvements urbains, de gestion du stress et de la peur etc ne serait pas une bonne chose. Personnellement ça me semble nécessaire.
    Je n’attendais pas des excuses ni quoique se soit mais je te remercie de l’avoir fait.
    A plus.

  • Le 18 janvier 2012 à 01:43

    *Hm, je crois que j’ai genré mon précédent message, alors que tu ne donnais pas d’indication à ce sujet. Bref, mes excuses pour la confusion. J’en profite pour laisser une adresse mail aux admins, à tout hasard.

  • Le 18 janvier 2012 à 01:34

    Bonsoir, je viens de voir le commentaire du camarade ci-dessous, et je pense -à ma grande honte- qu’il s’agit de moi. J’espère avoir l’occasion de croiser la camarade dont il est question ici afin de m’excuser auprès d’elle de ma maladresse, je ne m’étais absolument pas rendu compte que quelqu’un avait trébuché sur l’objet en question, pensant n’avoir été qu’un peu ridicule...Je n’ai pas réfléchi, et je m’excuse platement, en espérant encore une fois avoir l’occasion de le faire plus « humainement ».

  • Le 18 janvier 2012 à 00:42, par nerpro

    Hello, au delà de cette répression qui malheureusement n’est pas si taré que ça , je voudrais signaler un comportement dangereux pour nous au moment de la fuite.
    Alors que nous commencions à courir pour échapper aux flics en surnombres, l’un(e) de nous qui étais en début de cortège (donc plein de gens derrière) a cru bon de renverser une poubelle en travers du chemin ce qui à provoqué la chute d’une personne qui arrivais derrière elle. Heureusement cette personne à réussit à se relever vite et échapper aux flics en boitant.
    Je m’étonne que certain(e) d’entre nous aient se genre de gestes en début de cortège mettant en danger les autres.
    Une barricade ou des objets urbains jeter sur la route pendant une course poursuite, ça n’est pas du tout stupide du moment qu’il intervient en fin de cortège.
    Malgré sa fuite cette personne souffre de divers hématome non pas occasionné par les flics mais à cause d’ un ou d’une camarade.

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