Contrairement au reste de la société, les détenus et leurs proches sont privés de contact physiques depuis maintenant plus d’un an. Le covid n’est qu’un prétexte, car cela n’empêche pas les contacts avec les surveillants, et tout le personnel pénitentiaire !
Entre le directeur qui trouve « confus » le fait que des détenus demandent le retrait des plexiglas au parloir, lui qui est en contact avec ses proches tous les jours, et qui va et vient dans la prison sans que ça pose de problème de covid.
Le délégué syndical qui profite de la situation pour pleurnicher sur ses conditions de travail.
La prison est remplie à 145%.
Le covid, ça sert bien pour interdire les contacts familiaux, mais réduire les risques de contamination en faisant sortir des détenus entassés dans une prison insalubre avec des aménagements de peine prévus par la loi, faudrait pas exagérer...
Soutien aux détenus qui se sont révoltés et ont du faire face aux ERIS !
>Histoire de l’abolitionnisme pénal. Rencontre avec Shaïn Morisse, co-auteur de Brique par Brique.
L’idée d’abolir la police a fait surface, des États-Unis à la France, pendant les révoltes en hommage à George Floyd, tué par un policier le 25 mai 2020. Les mots d’ordre de couper les fonds de la police et de démanteler progressivement cette institution meurtrière ont de nouveau été entendus...
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