En cette fin octobre, ciel bleu et températures printanières accompagnent la naissance de « la radio qui crache du son », radio Dragon. Référence au « Drac, rivière tumultueuse qui traverse nos territoires et dont l’étymologie “draco”, signifie Dragon », nous apprend Aude. Après l’édition réussie de 2013, le bourg de Mens et ses alentours accueillent la deuxième édition du festival des savoir-faire radiophoniques, entre le 29 octobre et le 2 novembre. Quinze radios libres de France et de Bruxelles ont répondu à l’invitation pour partager discussions et ateliers pratiques ouverts aussi au grand public. Comme l’année précédente, les producteurs locaux offrent des produits que cuisine l’association la Petite Marmite pour nourrir la quarantaine de participants. Des habitantes prêtent le rez-de-chaussée de leur maison, « le Palasse », pour le lieu central et convivial du festival. D’autres hébergent tout ce petit monde ou accueillent des ateliers dans leur salon. L’effervescence du festival entraîne la radio dans ses premiers pas. La table de la cuisine du « Plex » se transforme une nouvelle fois en studio. L’appartement devient lieu de libre antenne assurée par les festivaliers et retransmise sur le site Internet de Dragon .
>Les médias indés et le Covid, ou comment passer à côté d’une pandémie | À ta santé camarade ! #2
« À ta santé camarade ! » est une chronique mensuelle des Canards masquées. Cette deuxième édition revient sur la manière dont les médias indépendants se sont comportés vis-à-vis de la pandémie du Covid, oubliant leurs beaux idéaux pour sombrer dans l’eugénisme ou mettre la tête dans le sable....
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