A ceux / celles qui souhaitent dépasser le stade du "râle impuissant " devant tel article ou telle émission de Radio ou télé.
Vous avez déjà entendu parler de cette façon de parler actuelle qui substitue aux mots de l’émancipation et de la subversion ceux de la conformité et de la soumission [1] ?
Exemples : la casse sociale des Sarko et Parisot est appelée "réforme" ; vous ne pouvez être licencié sur proposition du Directeur des Ressources Humaines qu’avec...humanité ( ça passe mieux quand même ).
Les chevaliers du guet vous invitent à repérer au jour le jour ou à l’occasion les pratiques des" journalistes aux ordres" pour les contester et les contrer nominativement.
Les propos racistes sont devenus un délit, alors faisons en sorte que les propos asseptisés des journalistes soient dénoncés et rectifiés.
Les auditeurs de "Là-bas si j’y suis" peuvent profiter du répondeur de l’émission pour contester et proposer des résistances.
Nous pourrions (en plagiant Serge Halimi) être chiens de garde (....mais peut être que ces derniers sont plus au service des puissants, des marchands et de la droite).
Pourquoi faire concrètement ?
Il nous faut donner un outil de résistance "internet" à celui /celle qui passe du temps à se plaindre des médias sans toutefois s’engager (par impuissance) à les contrer !
Comment ?
1- Les membres du collectif chevaliers du guet repèrent telle pratique asseptisante contestable (pléonasme).
Par exemple, pendant le journal de france inter du 1er janvier 08 à midi, la journaliste Julie Block Lainé parle de "charges sociales".
2- Remarque de celui qui l’écoute
La journaliste Julie Bloch-Lainé parle comme le patronat et la droite : en droit du travail n’existent que des cotisations sociales ....qui sont en réalité un "salaire mutualisé qui, par solidarité, est au service des citoyens", il ne s’agit surtout pas de charges !
3- Proposition de celui qui écoute
Remonter les bretelles (à chacun sa diplomatie) à cette dame "désinformante", en lui écrivant sur son email à france info la remarque précédente.
4- Un seul courriel risque peu de marquer le/la désinformant(e), il faut donc que tous les adhérents du collectif chevaliers du guet en soient informés et qu’à leur tour, ils écrivent à ce journaliste pour contester sa désinformation et remettre les pendules à l’heure ! En oubliant pas de préciser le repérage précis du propos (par exemple, France Inter à telle heure, tel jour), l’analyse de l’écoutant (ou spectateur télé ) et l’adresse courriel du journaliste.
Le quatrième pouvoir tolère mal la contestation de ses pratiques : nous pouvons mettre en route ce type de contestation "individualisée" pour interpeller le/la serviteur/servante qui vide les mots de leur réalité.
Bien entendu , les adhérent(e)s à ce réseau , restent libres d’interpeller ou non tel journaliste , en fonction d’une désinformation qui ne saute pas toujours aux yeux.
Pour plus d’infos, consultez http://chevaliersduguet.free.fr
Collectif d’internautes vigilants sur les propos des journalistes aux ordres
Contact :
Pierre NICOLAS : PrNICO[AT]aol.com
Les Berthouins
26400 DIVAJEU
Tél. 04 75 40 64 75
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