Ces textes s’ajoutent au dossier "Mauvaises Intentions", compilation sur l’arsenal antiterroriste brandi contre celles et ceux qui voudraient changer ce monde. Par ailleurs, un archivage des différents articles consacrés à cette arnaque crade de l’État français est disponible sur Infokiosques.net.
Lettre au comité de soutien du 11 novembre amène un peu d’espoir dans cette répression insensée.
Concrètement, un site se monte pour organiser le soutien des inculpé-e-s : http://www.soutien11novembre.org/. Un Comité Visible s’est monté à Rouen. Des collectifs existent déjà à Tarnac, Paris, Limoges, Tulle, Bruxelles, Nancy, Lyon, Genève, Strasbourg, Toulouse, Blois, Pau, Périgueux, Chalon-sur-Saône, Marseille, Agen, Nantes, Brest, Rennes, Saint-Etienne, Forcalquier, Beauvais, Annecy, dans les Cévennes, à la Sorbonne, dans le Jura, à Alès et en Ariège, mais aussi à New York, à Berlin, à Barcelone, au Portugal et à Moscou !
Une action de soutien a eu lieu à Lyon le jeudi 11 décembre et d’autres devraient suivre.
Deux personnes sont toujours en prison plus d’un mois après les faits, sans qu’aucune preuve ne justifie cette détention. Pire encore, elles sont classées DPS, détenu-e-s particulièrement surveillé-e-s ! Ne les laissons pas seules face aux délires policiers !
Il est plus que jamais nécessaire de réfléchir, lire et agir. Comment s’organiser matériellement pour ruiner ce monde ? Les textes attribués sans preuve par les services de répression - policière ou médiatique - aux camarades incarcérés sont désormais brandis comme épouvantail. Des bribes en sont extraites, hors de tout contexte, pour légitimer toutes les détentions longuement provisoires. La meilleure manifestation de solidarité pourrait être de lire les originaux en intégralité pour se faire sa propre idée, les discuter avec ses ami-e-s comme autant de pistes possibles vers un autre futur, au milieu d’autres.
Ces textes s’ajoutent au dossier « Mauvaises Intentions », compilation sur l’arsenal antiterroriste brandi contre celles et ceux qui voudraient changer ce monde. Par ailleurs, un archivage des différents articles consacrés à cette arnaque crade de l’État français est disponible sur Infokiosques.net.
Lettre au comité de soutien du 11 novembre amène un peu d’espoir dans cette répression insensée.
Concrètement, un site se monte pour organiser le soutien des inculpé-e-s : http://www.soutien11novembre.org/. Un Comité Visible s’est monté à Rouen. Des collectifs existent déjà à Tarnac, Paris, Limoges, Tulle, Bruxelles, Nancy, Lyon, Genève, Strasbourg, Toulouse, Blois, Pau, Périgueux, Chalon-sur-Saône, Marseille, Agen, Nantes, Brest, Rennes, Saint-Etienne, Forcalquier, Beauvais, Annecy, dans les Cévennes, à la Sorbonne, dans le Jura, à Alès et en Ariège, mais aussi à New York, à Berlin, à Barcelone, au Portugal et à Moscou !
Une action de soutien a eu lieu à Lyon le jeudi 11 décembre et d’autres devraient suivre.
Deux personnes sont toujours en prison plus d’un mois après les faits, sans qu’aucune preuve ne justifie cette détention. Pire encore, elles sont classées DPS, détenu-e-s particulièrement surveillé-e-s ! Ne les laissons pas seules face aux délires policiers !
Il est plus que jamais nécessaire de réfléchir, lire et agir. Comment s’organiser pour ruiner ce monde ? Les textes attribués sans preuve par les services de répression - policière ou médiatique - aux camarades incarcérés sont désormais brandis comme épouvantail. Des bribes en sont extraites, hors de tout contexte, pour légitimer toutes les détentions longuement provisoires. La meilleure manifestation de solidarité pourrait être de lire les originaux en intégralité pour se faire sa propre idée, les discuter avec ses ami-e-s comme autant de pistes possibles vers un autre futur, au milieu d’autres.
Le 16 décembre 2008 à 01:30, par Echos de la taiga#
Salut,
on vient de mettre en ligne les deux premiers numéros d’échos de la Taïga, le bulletin d’information du comité de soutien aux inculpés de Tarnac. http://nantes.indymedia.org/article/15624
Le premier est un rappel des faits, quelques réflexions des habitants du plateau sur l’antiterrorisme.
Le second comprend des résumé d’actions, une interview avec une des incarcérée et une analyse sur la construction d’un enemi intérieur.
Ci-dessous le communiqué de la LDH daté du 27 novembre :
« Antiterrorisme » en Limousin : lois d’exception et violation des garanties constitutionnelles des libertés
Communiqué de la LDH
Plusieurs personnes ont été arrêtées à Tarnac puis déférées à la Section antiterroriste du parquet de Paris après une garde à vue de 96 heures, c’est-à-dire le maximum autorisé par la législation d’exception dite « antiterroriste », le tout sous l’œil des caméras et des journalistes.
Les procès-verbaux des interrogatoires de garde à vue ont été rendus publics, comme certains rapports de synthèse des services de police, et la ministre de l’Intérieur a cru devoir porter des accusations de terrorisme contre les personnes mises en cause.
Une nouvelle fois, la Ligue des droits de l’Homme dénonce une procédure qui ne s’embarrasse pas du respect des libertés individuelles et se déroule sous l’œil de médias alimentés d’informations uniquement à la charge des personnes mises en cause. Cette violation, devenue permanente de la présomption d’innocence, y compris par des services de l’Etat ou par des responsables politiques, marque un affaiblissement inacceptable de l’Etat de droit.
La LDH regarde avec inquiétude l’extension de l’accusation de terrorisme à toute forme de contestation sociale et politique alors même que, dans le cas présent et de l’aveu même de la ministre de l’Intérieur, aucune vie n’a jamais été mise en danger, ni même susceptible de l’être. Le terrorisme est une menace trop sérieuse pour que l’on cède en la matière à des instrumentalisations et à des gesticulations sécuritaires.
La LDH dénonce la méthode de gouvernement qui conduit à exploiter chaque fait divers et à criminaliser toute critique de l’ordre établi pour réduire les libertés civiles et politiques.
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