Un pas de plus à été franchi vers le racisme d’Etat avec les propositions de Sarkozy en matière d’immigration. En qualifiant l’immigration de « subie », Sarkozy n’en est pourtant pas à ses premiers discours et effets de styles aux relents xénophobes et fascistes d’une « droite décomplexée ». Mais, derrière ces affirmations, une distinction est entérinée : Entre le-a « bon-ne » immigré-e qui doit venir docilement se faire exploiter pour un temps limité (celui ou celle que Sarkozy ou (...)