Mercredi 12 juin, 19 h, à Terre des livres, rencontre avec une intervenante autour du 1er numéro papier de L’amorce.
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Mercredi 12 juin, 19 h, à Terre des livres, rencontre avec une intervenante autour du 1er numéro papier de L’amorce.
Le grand public n’a guère retenu du mouvement punk que le nom des Sex Pistols (ou de quelques groupes un peu « tapageurs »), une démarche plus ou moins nihiliste (« No Future ») et une jeunesse un peu en marge se réfugiant dans la drogue ou l’alcool. En réalité, ce mouvement est aussi et surtout celui d’une démarche politique, d’un engagement social, avec de nombreux groupes condamnant toute forme de domination à l’égard des êtres humains et des animaux.
Nous sommes un collectif réuni au sein d’une association exploitante agricole dénommée Caracol, installée dans le parc naturel régional des Causses du Quercy (département du Lot, Occitanie). Parce que nous souscrivons à l’idée que « l’impossibilité d’accéder à la nourriture est une violence qui s’exerce contre les plus pauvres » (Bénédicte Bonzi, 2023), nous avons débuté la création d’une ferme en maraîchage biologique dont le produit sera distribué par une caisse autogérée de sécurité sociale de l’alimentation. Article initialement paru sur IAATA.
Chaque année en Espagne, le mois de février marque la fin de la chasse au lièvre. Pour les chiens courants (lévriers), cette période est par contre synonyme de calvaire. Mutilés, suppliciés ou abandonnés en masse, ils sont plusieurs dizaines de milliers à connaître une fin atroce ...
C’est en enquêtant sur le commerce de viande de cheval que deux associations de défense animale, l’une suisse, Tierschutzbund Zürich (TSB), l’autre allemande, Animal Welfare Foundation (AWF), ont découvert puis approché en 2015 ce type de ferme en Argentine et en Uruguay. D’autres enquêtes ont depuis révélé la présence de fermes similaires en Islande. Leur business ? Prélever du sang sur des juments enceintes.
Remarque anti-végane des plus récurrentes, celle concernant les similis (alternatives à la viande, au poisson, au fromage ...). Typiquement : « Si les véganes refusent de manger de la viande, pourquoi mangent-ils des produits qui en imitent le goût ? ». Une question souvent teintée de provoc et de mauvaise foi, mais à laquelle on peut néanmoins tenter de répondre. Après tout, tant qu’à être végé, pourquoi choisir de manger un steak végétal plutôt qu’un bon dahl de lentilles par exemple ?
Dans la perspective de reconstruire la lutte contre l’exploitation animale sur une base matérialiste et de lui donner une réelle perspective révolutionnaire, notre collectif 269 Libération Animale poursuit son cycle de « rencontres » avec des penseurs.ses et militant.e.s dont les réflexions et projets politiques nous inspirent. Pour cette deuxième séance qui se déroulera à l’Atelier des Canulars, nous accueillerons l’écrivain et militant Victor Cachard pour parler avec lui du sabotage comme stratégie.
La découverte d’un cas de brucellose dans un élevage bovin du Bargy (Alpes de Haute Savoie) en 2012 est à l’origine d’une vaste campagne d’abattage des bouquetins (sauvages) dans le secteur. Certes, la maladie est transmissible entre les deux espèces (bovin/bouquetin), mais le risque pour l’élevage est minime ; et ne justifie pas la brutalité/disproportion des mesures employés.
1h30 de radio pour lancer la 5e saison de Minuit Décousu... en même temps que l’ouverture de la chasse... 🐗🌲
Classé à la fois comme « espèce chassable » et comme « espèce susceptible d’occasionner des dégâts » (ESOD), le renard est chassé toute l’année en France. Victime d’une mauvaise réputation, accusé de tous les maux, c’est le souffre douleur préféré des chasseurs. Rien ne lui est épargné : tir au fusil, chasse à courre, piégeage, déterrage ... Au total, ce sont plus de 600.000 individus qui sont ainsi tués chaque année. Pour quel résultat ? Les chasseurs prétendent ainsi « réguler la nature » et « protéger la biodiversité ». Mais dans les faits, c’est plutôt l’inverse qui se produit ...
Chaque année, environ 12.000 blaireaux sont tués en France par des chasseurs pratiquant la vénerie sous terre. Une pratique barbare, d’un autre temps, que dénoncent les militants et associations animalistes.
Considérés comme nuisibles, les pigeons de ville sont visés par des campagnes d’éradication aux méthodes souvent cruelles. D’autres méthodes (plus douces) existent, mais sont, pour l’instant, peu utilisées. Zoom sur le sort de ce volatile, jadis domestiqué et même porté aux nues, aujourd’hui devenu indésirable.
Les rats sont peut-être les animaux qui inspirent le plus de mépris et de dégoût à l’être humain. Chaque année, des millions d’entre eux sont massacrés au nom de peurs irraisonnées et de façon souvent cruelle. Mais que savons-nous des rats finalement ? Qu’ils sont sales, transmettent des maladies ? Et après ? Pourquoi sont-ils là ? Qu’est-ce qui explique leur prolifération ? Quels risques pour l’être humain concrètement ? Des questions qui, au delà des préjugés, incitent à relativiser ...
On envoie ces mots pour nos compa, connu.es et inconnu.es, celleux qui ressentent dans leur coeur que la mort du specisme a besoin d’une résistance féroce et sans compromis, en dehors des organisations de toutes sortes, sans souhait de réformer cette civilisation damnée.
Bientôt l’été. Certains en profitent pour s’échapper aux quatre coins du monde et se livrer à diverses activités touristiques. Si celles-ci ont souvent de quoi séduire (voire émerveiller) le voyageur, certaines cachent parfois une réalité moins reluisante. C’est le cas notamment des attractions impliquant les animaux ...
Le nord de l’Espagne est réputé pour sa production de fruits de mer, mais aussi de pieuvres. Alors que la demande pour ce mets ne cesse de croître, les populations de céphalopodes s’amenuisent et les prises des pêcheurs sont de moins en moins bonnes. Afin de répondre à cette demande, des projets d’élevage industriel de pieuvre pointent le bout de leur nez.
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Quatrième et dernier livre du cycle antispéciste : « Solidarité animale : Défaire la société spéciste » d’Axelle Playoust-Braure et Yves Bonnardel
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Troisième livre du cycle antispéciste : « Introduction aux études animales » d’Emilie Dardenne
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Second livre du cycle antispéciste : « Anarchie et cause animale » de Philippe Pelletier
Peintures, dessins et collages engagés, de l’artiste lyonnais Paul Ward, à l’Alternatibar. Le compost qui résultera de cette expo produira d’excellentes courges et répondra à un concept punk longtemps promis, mais jamais réalisé : « Manger les riches ».
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