Depuis quelques semaines, l’équipe de l’émission Les Clefs à Bonnettes s’est mise en pause, car nous manquons de forces vives pour l’assurer dans des conditions satisfaisantes. Pour autant, plusieurs d’entre nous ont envie de continuer, et surtout que l’émission continue !!! On s’est donc dit qu’on allait ouvrir grand les portes aux personnes qui seraient intéressées de nous rejoindre (et ça fera pas de mal un petit peu d’aération dans les locaux de Radio Canut haha).

Salut ! Encore des nouveaux évenements rajouté à l’agenda ! Puis une précision concernant la permanence écoute, et on passe de mercredi à jeudi pour 1 des permanences programmation ! Pour rappel l’entrée est toujours gratuite sauf parfois pour les événements en soutien à une lutte, des collectifs etc. La comète c’est un espace utilisable de plein de manière différente alors n’hésite pas si tu veux proposer quelque chose dedans ! Les permanences programmation sont là pour ça. Pour être (...)

Perçue en amont comme un véritable crash-test pour le mouvement social, les mobilisations de ce 7 et 8 mars se sont avérées une réussite tant sur le plan numérique que sur le fond politique.
Dans les rues parisiennes, la manifestation nocturne radicale en non-mixité a finalement été autorisée, et a rassemblé des milliers de personnes. De plus, la manifestation du samedi 8 mars s’est soldée par un échec cuisant pour le bloc réactionnaire.

Le genre est une construction sociale. Ça signifie que nous apprenons des rôles et qu’on nous les fait répéter encore et encore. Ces comportements nous nuisent, ils entravent notre capacité de libre arbitre, ils nous conduisent à générer de l’oppression sur les autres.
Comment prendre conscience de ces mécanismes ? Comment les déjouer ? Comment faire pour s’en éloigner ?

Par et pour des personnes ayant vécu de l’inceste et/ou de la pédocriminalité.
1 fois par mois au Jusqu’ici, 169 grande rue de la Guillotière, dans le 7^e (sous réserve de changement).
Sur inscription par mail à metooincestelyon@gmail.com.

Le 22 et 23 Mars 2025 au Quartier Vitalité centre social du 1^er arrondissement au 7 rue Saint Polycarpe 69001 Lyon se tiendra un week end de Mobilisation sur le mal logement organisé par le collectif solidarité entre femmes a la rue.

L’Union Communiste Libertaire Lyon organise un nouveau café libertaire sur la précarité des femmes et minorités de genre le samedi 15 mars à 17h à la librairie la Plume Noire !

« À ta santé camarade ! » est une chronique mensuelle des Canards Masquées. Cette dixième mouture décrypte comment, comme d’autre groupes politiques, les féministes ont abandonné la protection communautaire contre le Covid. Après les élans de solidarité du début de la pandémie, le « retour à la normale » a été un recentrement validiste, qui a laissé de côté nombre de femmes et de minorités de genre, tout en dévoyant certains outils et slogans féministes. Mais il n’est jamais trop tard : un féminisme radicalement antivalidiste est possible.

Vendredi 21 Mars à 18H à l’Amicale du futur, rencontre avec l’autrice de Pente raide
Pente raide est le récit intime d’une femme qui voyage seule. Sur son itinéraire qui l’amène jusque dans les montagnes arméniennes et iraniennes, elle subit un viol, et, refusant l’assignation victimaire, continue le voyage.

𝄞 « Quand c’est oui, c’est oui, quand c’est non, c’est non » ♫ Au-delà de cette chanson entêtante, le consentement se révèle être une notion bien plus complexe qu’il n’y paraît. Si un « non » est toujours un « non », un « oui », lui, n’est pas toujours un « oui ».
Comment accueillir un « non » ? Comment dépasser sa frustration ? Comment s’assurer qu’un « oui » est bien un « oui » ? Comment faire évoluer la façon dont on demande ? Comment développer sa capacité à pouvoir dire « non » ? Au cours de l’atelier vous tenterez de répondre à ces questions. L’atelier ne vise pas spécifiquement le consentement dans les relations sexuelles, mais le consentement dans tous les formes de relations sociales que nous avons au quotidien.

VISA69 vous donne rendez-vous à 19h le 12 mars 2025 à la Bourse du Travail

Ici à Lyon, pour le 8 mars, en tant que féministes internationalistes et révolutionnaires , nous répondons à l’appel de l’Assemblée féministe Paris-Banlieue.

Le 8 mars, journée internationale de lutte pour les droits des femmes, le Collectif Droits des femmes 69 appelle à une grève féministe pour lutter contre l’extrême droite et exprimer notre solidarité internationale.
Rendez-vous samedi 8 mars 2025 à 15h, Place Bellecour pour le départ de la manifestation.

Répétition ouverte le vendredi 7 mars à toute personne sauf mec cis.
Accueil à partir de 19h00 et début à 19h15, fin vers 21h15, à l’Ile Égalité, 6 rue de l’égalité, Villeurbanne.

Rencontre avec les écrivaines Fabienne Juhel – « Les Putes sont des hommes comme les autres » (éditions Goater) – et Déborah Costes – « Reprendre corps » (Editions Globe) – et des membres des associations CABIRIA et Hélice.
+ Projection du film « Les prostituées de Lyon parlent » (1975, 46 minutes) de Carole Roussopoulos.

On est quelques personnes de collectifs de sports de combat autogérés d’Île-de-France à réfléchir à la pratique de sports de combat quand on a vécu des violences domestiques (intrafamiliales et/ou conjugales).
On aimerait bien rassembler des témoignages, des ressources, des expériences pour sortir une brochure sur le sujet !

Voilà le programme de Mars de la comète le local féministe autogéré de Lyon.
Pour rappel l’entrée est toujours gratuite sauf parfois pour les événements en soutien à une lutte, des collectifs etc. La comète c’est un espace utilisable de plein de manières différentes alors n’hésite pas si tu veux proposer quelque chose dedans ! Les permanences programmation sont là pour ça.

Week end solidaire du collectif 100 Racines : samedi 1^er mars vide-dressing à la Comète, dimanche 2 mars bouffe aux canulars

Une fois par mois, l’Actu des Oublié.es explore les luttes dans le monde. En février, nous retournons en Corée du Sud, où le président néo-fasciste a été récemment destitué.

De septembre à décembre 2024 s’est tenu le procès dit “des viols de Mazan”.
Les médias, divers collectifs et personnalités politiques saluent en chœur une “prise de conscience historique”, capturant ainsi une colère largement partagée, et laissant croire que le modèle politique même qui produit les violences de genre serait capable de se remettre en question et de changer.