Popouri n°21 - décembre 2005
Contre toute attente, le popouri de décembre ne sortira pas la deuxième quinzaine du mois comme le laissaient échapper certaines mauvaises langues... Ce popouri une nouvelle fois riche en informations subjectives (pas comme l’objectivité du Progrès et autres sbires...) et militantes pourra vous accompagner tout au long du mois. En plus, ça fait une chouette base de discussion pour le noyël en famille autour des sujets polémiques d’actualité ! Plein de belles dicussions en perspective avec la tata faf, le tonton coco qui vire nationaliste, le cousin libéral et la cousine social-démocrate... Ce mois sera dur, très dur... d’autant plus qu’en janvier il n’y aura pas de popouri ! Eh oui, on se rencarde en février pour la suite.
Mais en attendant on ne va pas vous laisser partir comme ça. Le collectif est à sec donc une nième fête du popouri s’impose ! Elle est prévue pour le vendredi 16 décembre avec concerts, djs, et graphs au rendez-vous. Voilà, on vous attend nombreux et nombreuses en espérant que vous n’avez pas donné toutes vos économies au Téléthon ! Mais la force du popouri c’est aussi vous ! C’est certes une formule très populiste mais néanmoins vraie - qui a dit que le popouri ne faisait pas dans le populisme ? On a jamais autant eu besoin de contributions spontanées, d’aides actives pour le pliage et autres tâches diverses, variées et épanouissantes ! Notre survie en dépend !! (pour info, c’est une phrase choc qui est sensée vous faire réagir !)
Bon, il y aura encore plein de trucs biens dans ce numéro ! - Ah ! oui, avant de venir en masse dans le collectif il faut savoir que l’on finit tous-tes mégalos ! Tout d’abord (p.5) un article sur la crapule qu’est Finidori, juge à la Cour d’appel de Lyon... ce qui nous mène à un article sur les violences policières (p. 3 & 4) avec un retour sur le procès en appel des inculpés de la manifestive instruit par le faf de la page précédente. Ensuite, pendant que d’autres prient leur vierge de les avoir sauvé-es de la peste, on ira faire un tour du côté des taules de Perrache le 8 décembre (p.6 & 7) En page 8 & 9, des extraits d’un zine italien, « Tempi di guerra », qui illustre à merveille cette sinistre époque où l’on vit une politique de l’ordre et la sécurité. Maintenant, les ô combien célèbres brèves (p.10 & 11) puis une tentative de création d’un collectif de baby-sitting (p.13) Juste avant la présentation du « collectif état d’urgence », constitué après les rébellions en banlieue (p.12) Et pour finir... l’agenda !
Hop !