Est-ce que c’est parce qu’une cinquantaine de personnes venues de tous les quartiers étaient présentes devant le 63 rue Montesquieu dès 6h que l’expulsion n’a pas eu lieu ce matin du 10 août ?
La menace reste d’actualité, mais les personnes présentes restent vigilantes et en contact pour revenir, quand cela s’avérera nécessaire, dire non à l’ignomimie programmée pour ces « damné.es de la terre ».
Toujours est-il que les médiateurs et médiatrices gardent un (faible) espoir de négocier lundi 13 août avec la préfecture une solution plus digne qu’une simple mise à la rue de plusieurs familles.
Oui, la simple solidarité citoyenne a du poids, sans aucune instrumentalisation de partis ou groupuscules politicards !
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