Une nouvelle péripétie dans la persécution pénitentaire de Christine, bergère drômoise.
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Une nouvelle péripétie dans la persécution pénitentaire de Christine, bergère drômoise.
Mardi 28 avril 2015, Christine RIBAILLY, toujours détenue à la prison de Strasbourg, devait être extraite de sa cellule pour comparaître au tribunal de Poitiers et s’y défendre d’accusations d’outrages et de violences envers des personnes dépositaires de l’autorité publique. L’extraction n’a pas eu lieu, et le procès est renvoyé au 6 octobre 2015... Nous y serons !
Le 28 avril 2015, Christine Ribailly, détenue à la prison de Strasbourg, sera transférée au tribunal de Poitiers pour y répondre d’ « incidents » survenus à l’automne 2014 quand elle était incarcérée à Vivonne.
Rendez-vous le mardi 28 avril à 15h devant le Tribunal de Poitiers pour soutenir Christine.
Le 26 septembre 2014, Christine est passée en procès à la cour d’appel de Paris suite à une plainte de maton pour violence...
La Megacombi est partie à la rencontre de Christine, bergère emprisonnée depuis plus d’un et dont on donne régulièrement des nouvelles sur Rebellyon. Un très beau reportage entre moutons et matons.
Incarcérée depuis novembre 2012, Christine purge plusieurs peines écopées ces dernières années suite à de multiples insoumissions à l’autorité de différentes institutions (flics, administration pénitentiaire, institution psychiatrique,...). Du mitard au quartier d’isolement, de commissions disciplinaires en procès, Christine ne faiblis pas et face à elle l’Administration Pénitentiaire et la justice essaient toujours plus de la broyer.
Suite au délibéré du tribunal d’Arras le 26 novembre la justice a considérablement rallongé la peine de Christine et a bien sûr défendu ses chiens de garde, son hypothétique date de libération passe à fin 2015. Sont publiées également trois de ses dernières lettres.
Jeudi 19 septembre, faisant suite aux accusations de dégradations et de menaces et violences sur la matonnerie, a eu lieu le procès de Christine au Tribunal d’Arras (voir ici pour les événements précédents.)
Alors que les prisons ne cessent de se remplir et les taulards de s’entasser dans les cellules (près de 69000 enfermé(e)s pour 57000 places au 1er juillet 2013), les conditions de détention sont toujours plus dures et les raisons de se révolter toujours plus prégnantes. Si les résistances individuelles ne sont pas rares, ces derniers mois des mutineries ont aussi éclaté dans différentes taules (Bourg-en-Bresse, Blois, Châteaudun). Face à cela, la réponse des matons et de l’Administration Pénitentiaire reste toujours la même : répression, humiliations, violences, isolement, transferts,...
Le jeudi 4 juillet, Christine devait être jugée au tribunal d’Arras pour violences et menaces sur matons, dégradations et refus de prise d’empreintes. (voir ici : Christine au mitard - son procès en juillet à Arras)
Jeudi 4 juillet à 15h, Christine sera extraite du Centre de Détention (CD) de Bapaume pour être jugée au tribunal d’Arras pour violences sur matons.
Incarcérée depuis novembre 2012, Christine est au CD de Bapaume depuis début avril 2013. Voir les événements précédents ici.
Christine est incarcérée depuis novembre 2012. Elle y purge plusieurs peines écopées ces dernières années suite à de multiples insoumissions à l’autorité de différentes institutions (flics, administration pénitentiaire, institution psychiatrique,...). Bref, tous ceux qui, quotidiennement, ont pour rôle de réguler et réprimer nos vies, d’assurer le contrôle social.
Début novembre 2012, suite à une altercation avec les matons en allant visiter son compagnon au parloir à la taule de Corbas, Christine a été emmenée en garde à vue. Puis, en attendant un procès qui a eu lieu le 13 février, elle a été placée en détention à la Maison d’arrêt de La Talaudière à Saint-Étienne. Elle reste incarcérée depuis, et purge la somme de différentes peines écopées ces dernières années suite à de multiples insoumissions à l’autorité de différentes institutions (flics, administration pénitentiaire, institution psychiatrique…).
Christine est incarcérée depuis début novembre à la Maison d’Arrêt de la Talaudière (Saint-Étienne). Elle y purge plusieurs peines écopées ces dernières années suite à de multiples insoumissions à l’autorité de différentes institutions
Une trentaine de personnes étaient présentes dans la salle pour soutenir Christine,
principalement des éleveuses et des bergères mais aussi quelques lyonnaises.
Par contre, Christine n’était pas présente.
Et pour cause, ayant refusé qu’on lui passe les menottes pour son transport entre la maison d’arrêt de la Talaudière et le TGI de Lyon, elle a finalement été ramenée dans sa cellule.
Le procès a été reporté au 13 février prochain.
Suite à une altercation avec les matons en se rendant à un parloir à la taule de Corbas, Christine passe devant le tribunal correctionnel de Lyon (TGI) le mercredi 19 décembre à 14h. Elle y comparaît notamment pour refus de prélèvement ADN, outrage, rébellion et évasion de garde à vue.
Ce vendredi matin (11/05/12) avait lieu au Tribunal de valence la deuxième audience de Christine devant le Juge des Libertés et de la Détention à l’issue de laquelle ce dernier devait statuer sur le maintien ou la levée de son hospitalisation sans consentement. Il a été décidé de la libérer notamment suite au compte rendu de l’expertise psychologique demandée lors de la première audience (03/05/12) et qui a eu lieu ce lundi.
A l’issue de trois semaines d’enfermement, ce rapport fait (...)
Christine vient de nous communiquer le résultat du délibéré de la cour d’appel de Lyon (campement anti-loppsi du 16/12/2010, place Bellecour).
7 mois ferme sans mandat de dépot : 4 pour violences et dégradations et 3 pour refus de prélèvement ADN.
Christine, condamnée à de la prison ferme à l’occasion d’un rassemblement contre la Loppsi 2 à Lyon, vient d’être incarcérée à St Etienne.
Suite à la mobilisation à Lyon contre la loi Loppsi 2, Christine passe devant la cour d’appel de Lyon (24 colonnes) mardi 22 mars 2011 à 13h30.
Condamnée à trois mois de prison ferme en comparution immédiate, elle comparaît pour refus de prélèvement ADN, refus de prise d’empreintes digitales et rébellion.
Le délibéré sera donné le mardi 17 mai à 13h30. (Voir mise à jour dans l’article)
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