Appel à occupation des terres pour les défendre du béton de Décathlon... RDV les 22, 23 et 24 juin à Avignon pour lancer une nouvelle ZAD !

Aujourd’hui il nous apparaît possible de dire qu’une même logique sous-tend la propriété individuelle et la croissance industrielle, celle de l’accaparement des terres – cultivables le plus souvent –, dans le mépris toujours plus grand des éléments avec lesquels nous partageons la vie (végétale, animale, minérale, aérienne, aquatique…), jusqu’à leur domestication totale.

Et cela au prix d’un mépris plus profond encore à l’égard des humains, de l’attachement qu’ils éprouvent pour leur territoire, aux pratiques qui en consolident le lien.

Les gestionnaires (communément appelés élus), à qui nos décisions sont confiées, prennent soin (et toujours avec l’argent public) d’organiser “des séances de concertations publiques” une fois les décisions entérinées. Dans ces conditions, ces sont la paysannerie, le monde agricole dans toute sa diversité qui font les frais des zélés décideurs, et de l’ingénierie qui s’en suit.
La ville ne sait pas trouver ses limites, elle est devenue la métaphore du gain et de l’extension, ce à quoi elle s’acharne. Qui est la ville ?