Lundi 29 février, la police et les bulldozers sont là pour commencer la destruction. La communication officielle annonce que seules les tentes et cabanes vides seront détruites. Dans les faits, la police et les bulldozers font déguerpir les habitant-e-s, et les cabanes ainsi vidées sont détruites. L’accès est interdit aux bénévoles et aux associations. Des arrestations de bénévoles présents dans le bidonville, parce qu’ils ou elles y vivent ou y étaient venu-e-s avant l’arrivée de la police, sont signalées. C’est grâce aux téléphones qu’ils est possible de savoir ce qui se passe et d’avoir des images.
>Manifestation contre les violences carcérales dimanche 28 mai à 14h place Bellecour

Pour dire stop aux violences carcérales et aux Centres de Rétention Administrative, Stop aux crimes maquillés en suicide, Stop à la surpopulation carcérale et à l’injustice à l’appel du Réseau Entraide Vérité et Justice, créé par des familles de victime des violences pénitentiaires
Compléments d'info à l'article
Proposer un complément d'info