François Schneider continue son périple à pied avec son ânesse Jujube et une autre ânesse. Dans le cadre d’un colloque qui s’est tenu à l’hôtel de ville de Lyon le 26 septembre 2003, François terminait sa conférence en disant que la croissance, « insoutenable », prônée par nos gouvernants de droite et de gauche, nous menait dans le mur. « Pour que l’humanité survive, il faut que le capitalisme meure ! C’est une question de vie ou de mort ! ». François a habité Lyon pendant très longtemps, avant d’aller dans la Drôme et de s’apercevoir qu’il avait un cancer de la colonne vertébrale.
Du coup, joignant le geste à la parole, il a décidé de marcher sur les routes et de parler de la décroissance. En ce moment, il est arrivé sur Lyon.
Il a accepté de venir discuter avec les membres du collectif des Résistances, et avec toutes celles et tous ceux que ça branche, de la décroissance, de la marche et de toutes autres choses, en toute simplicité, en partageant le repas de collagne, ce vendredi midi à la Friche.
Pour celles et ceux qui ne seraient pas disponibles, on peut le rencontrer encore lors d’une conférence à la salle Victor Hugo, 33 rue Bossuet, Lyon 6e, ce lundi 6 juin à 20 h.
Et aussi pour le départ de la marche pour la décroissance, place Antonin Poncet (poste de Bellecour), ce mardi 7 juin à 10 h.
Cette marche part de Lyon le 7 juin pour se terminer à Magny-Court (près de Nevers) le 3 juillet, à l’occasion de la course automobile des formule 1.
Pour les intéressé(e)s, il est encore temps d’y participer, même de façon partielle.
infos sur la Marche pour la Décroissance sur le web de Casseurs de Pub.
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