« Pourquoi tout ce monde assis quand l’autre poireaute à la porte ? », « Pourquoi les ordinateurs ne font pas de psychanalyse ? », « Pourquoi les accordéons Roumains font la manche à Paris ? » Christian Paccoud a sûrement une question pour vous dans ses chansons, qu’on pourra entendre mercredi 28 février, à 18 heures 30, sur le square Joubert, juste après le rassemblement « rituel » de 17H30 devant la préfecture.
L’accordéon et le coeur en bandoulière, c’est des ritournelles simples, des paroles efficaces, à la conscience vive et populaire. Des accord en rouge et noir qui n’ont rien à voir avec ceux de la variété. Cet engagé instinctif use plutôt de l’image du poète pyromane qui allume la petite flamme chez l’auditeur. Son engagement n’est pas un accessoire de scène, mais une façon naïve de respirer, de faire corps avec son piano à bretelles, et de crier d’une voix écorchée : « C’est quand même un minimum, si nos enfants sont dans le doute, non ? »

Mercredi 28 février,
18h30, sur le square Joubert.

Christian Paccoud chante pour OSER