Quelle est la différence entre un ouragan et la révolution ?
Aucune les deux laissent des traces de leurs passage !

Il n’y a pas a avoir peur de quelques choses dont on a tout fait pour qu’il arrive. Que les sceptiques sur le rechauffement climatiques se barricadent chez eux, car il n’y a rien à attendre de la science pour qu’elle vienne confirmer ou infirmer une hypothèse qui depuis déjà des siecles ne cesse de se verifier. Le capitalisme n’engendre que la mort. Et l’ouragan de la vie plus puissant encore, fera tout pour l’en empecher !

La reaction de la nature au dereglement du climat s’effectue sur le meme plan que le combat des hommes contre la machine. Des tornades s’elancant toujours plus au nord des tropiques, des eaux dechainées submergeant tour à tour les côtes surpeuplées, la fonte des glaces sur la banquises, la nature reagit partout, localement, à un problème Globale, l’ethique capitaliste.

Il en va de même des actions des Hommes contre la Machine. Là où la nature reprend le dessus sur l’homme, l’homme reprend le dessus sur la machine. Il n’y a pas en ce jour un seul territoire épargné par cette confrontation directe entre la population et la Machine Capitaliste. Combattre sur son lieu de travail pour l’aneantissement des forces productives, lutter en ce moment contre le betonnage de centaines d’hectares de prairie et de foret sur le lieu du deja mort Aeroport de Notre dames des landes, s’employer à refouler au abord de nos villes les forces d’occupation du régime, sont autant d’actions menées localement contre la mort pour la liberation de la vie.

L’ouragan Sandy hatise deja les imaginaires les plus vifs. A deux semaines des elections presidentielles americaine, le spectacle le plus abject de toutes les democraties, il est difficile de ne pas y voir la un rappel à l’Empire que rien n’est joué dans une bataille pourvu que l’on ai les pieds au sec. Le phenomene nous dit-on est exeptionnel. Il est vrai. Que nous dirons nous l’année prochaine lorsque il sera encore plus puissant ? Nous le savons deja. L’habile manoeuvre des autorités vise à nous transférer leurs peurs de voir cette ouragan se renforcer et ravager le carrefour strategique de la Métropole Mondiale, avec bien plus de degat que l’aurait fait l’ouragan Katrina. L’art de nous meler de pres ou de loin à leur paranoia et à leurs angoisses les plus vives est revolu.

Nous ne ressentirons jamais les mêmes choses !

N’ayons craintes de le dire ! Nous souhaiterions bien que Sandy vienne innonder la salle des marché de Wall Street ! Nous aimerions bien voir le chantier du futur World Trade Center etre completement ravagé par les eaux ! Nous revons deja de voir New York paralysé par la toute puissance de la nature venu pour quelques jours calmer l’arrogance de ces quelques cols blancs et administrateurs de la finance mondiale jugé invincible !

L’hypothese de Sandy, correspond à cette idée qui est dans toute les têtes, dans tout les coeurs, au bout de toutes les lèvres. Comment faire pour mettre ce monde à genoux ? Comment faire pour briser au moins une fois dans nos vies l’assurance de ceux qui veulent nous voir marcher à genoux. Dans un même et unique mouvement sinusoidale, selon les forces de l’universelle, dans l’ouragan comme dans chacun de nos affects, le mouvement revolutionnaire vient bouleverser le Statis. L’Ellipse de la trajectoire de l’ouragan nous rappel les meilleurs mouvement de troupes des armées de liberation nationale. Les tornades et bourasques aux abords, les plus beaux escarmouches jamais monter contre l’occident. Et la mer, comme une foule dechainée, s’ajoutant à la plus belle des marée humaine, s’enorgueillie de voir tous ces riches citadins fuire de leurs tours, les côtes, comme si compris trop tardivement, ils avaient enfin préferé la fuite à la noyade !

Le même jour la bourse d’Athènes chute de 5%, les patrons francais réclament en urgence une baisse de 30 Milliards d’impots, la premiere grève generale transeuroppénne est appelée pour le 14 novembre, l’economie de l’Espagne et de l’italie semble imploser...

Comment en douter, il n’y a pas à tergiverser, nous prefererons toujours Sandy au FMI !