Pushka est un groupuscule d’artistes, cinéastes, comédien(nes), photographes, danseurs(euses) musicien(nes), qui milite à Lyon pour un art libre, autoproduit et autonome.
Le collectif est un support de création collective, de soutien humain et matériel autant qu’un espace de réflexion autour de projets artistiques engagés dans une lutte.
Toute la soirée : exposition photo de Mahatsanga le Dantec
19h30 : Représentation de « Nous les Vagues » des Arnormales d’après le texte de Mariette Navarro
« En perpétuel mouvement, nous sommes les vagues. Si les figures que nous vous invitons à découvrir confondent parfois militantisme et héroïsme, elles sont toutes animées par cette aspiration à la liberté, qui ne peut se contenter de ce que le système a à leur proposer car « ce que nous voulons, c’est faire de la lumière à l’intérieur des coffres ».
21h : Projection de courts métrages
> « Nid de coucous », court métrage documentaire, collectif Pushka, 30 min
A Lyon comme ailleurs, pour les jeunes squatteurs et pour les familles sans papiers, il faut lutter pour habiter et habiter pour lutter. « Nid de Coucous » raconte l’histoire de ces indésirables et de ces sans voix, qui à l’échelle d’un immeuble ou à l’échelle d’un pays, occupent et résistent dans des lieux où ils ne sont pas les bienvenus.
> « Le théâtre de nos vies », clip vidéo, collectif Pushka, 6min.
Clip du groupe de rap Falkoniform, tourné à Lyon, sur le thème de la distanciation.
> Teaser de « La Plaie » , thriller social écrit et réalisé par Robin Vergnes, soutenu et produit par le collectif Pushka
La Plaie est un court-métrage auto-produit. Un sdf se venge des hommes qui ont abattu son chien. Un thriller-social ; la traque solitaire d’un homme brisé où la solitude de la vie dans la rue se mêle à la fureur d’une vengeance sans merci.
> « Les tambours de l’hiver », ciné-transe documentaire, Yassine Hubert-Chakour, 12min
Ce court métrage explore les différents carnavals du sud de la France pour faire le portrait d’une fête vive et subversive, qui se bat encore aujourd’hui pour rester la fête du déchainement populaire.
> « Jibâl », essai documentaire, Yassine Hubert Chakour, 12min
Jibâl est un récit documentaire contemplatif se déroulant au Maroc. Dans l’ennui du quotidien surgit la mémoire de la colonisation et la violence du déracinement, nous interrogeant ainsi sur l’émigration et les frontières dont Melilia, Ceuta et Gibraltar sont encore des tableaux tragiques.
> « Les murs invisibles », essai documentaire, Behzad Yaghobpour et Alfredo Rodriguez, 10min.
Dans les rues de la presqu’île, une jeune iranienne évoque le souvenir de son pays, le paradoxe de la liberté et les luttes féministes iraniennes.
> et bien d’autres surprises
>Pour s’y rendre :
82 Rue Philippe de Lassalle, en face du Cimetière de la Croix Rousse
> C18 direction Croix Rousse Nord, arrêt place Flamarrion
> Métro C direction Cuire, arrêt Henon
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