Soutenons les travailleurs des transports publics en lutte !

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« Fainéants », « privilégiés », une partie du public ne mâche pas ses mots vis à vis de la grève des conducteurs des bus, tramways et métros qui nous permettent pourtant toute l’année de nous déplacer en ville et dans l’agglomération.

Ce que les journaux ne disent pas, c’est que ces salariés se battent contre une réforme de leur convention collective scandaleuse. Les horaires, la grille des salaires, la protection sociale sont gravement menacés. Ce n’est donc pas simplement un hypothétique « 14e mois » que les salariés revendiquent, mais la sauvegarde de leurs conditions de travail.

Pourquoi faut-il être aux côtés des travailleurs des TCL ?

Ce qu’il se passe aux TCL est emblématique d’un phénomène général. Partout, la précarité s’installe. Des milliers de salariés sont licenciés, alors qu’il devient de plus en plus impossible de trouver un emploi, même avec des qualifications. Les travailleurs des TCL réagissent à cette situation générale.

Les étudiants, en tant que travailleurs en formation, se sont battus durement l’année passée et l’année précédente contre la LRU, loi qui, en privatisant nos universités et en instaurant la sélection à l’entrée, favorise notre précarisation générale. C’est le même patronat et son gouvernement qui attaque les étudiants et les travailleurs.

Préparons la grève générale !

Isolés, les étudiants ont perdu la grève l’année dernière. Il peut en être de même pour les TCL, et pour tous les autres. Il faut déjouer ce piège ! Si nous ne voulons pas tous perdre séparément et chacun son tour ce que nos parents avaient réussi à gagner en un siècle de lutte, il faut tisser des liens. Montrons que nous sommes tous solidaires face à ceux qui veulent nous pousser vers la misère pour continuer à faire des profits !

Les directions nationales des principaux syndicats nous appellent à la grève chacun son tour et à reculons, au risque de nous affaiblir face au gouvernement. A l’inverse, la FSE participe au collectif « Tous ensemble », qui milite pour un appel uni à la grève générale, seul moyen efficace pour gagner !

Nous appelons les étudiants à se montrer solidaires, à participer aux manifestations des travailleurs des TCL et à travailler à un mouvement général contre le pouvoir en place.

Pour la gratuité des transports publics !

La crise économique et le chômage massif, ajoutés à la hausse continuelle du prix des transports, rendent les déplacements urbains de plus en plus difficiles pour les classes populaires.

La FSE propose aux étudiants, aux usagers et aux travailleurs des TCL de revendiquer ensemble la gratuité des transports publics pour tous et toutes.


- Travailleurs, étudiants : solidarité !
- A bas les attaques antisociales !

Fédération Syndicale Etudiante de Lyon – uselfse@yahoo.fr

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  • Le 5 octobre 2009 à 23:02

    Je suis d’accord avec toi qu’on peut et qu’on doit débattre calmement. D’ailleurs si toi ou d’autres sont interessé par le débat le CCI (qui publie le journal révolution international en France), tiendra une permanence le samedi 1O octobre au CCO. 39 rue G. Courteline à villeurbanne a partir de 17h.

  • Le 2 octobre 2009 à 00:19

    Serviles les camarades de l’USTKE qui croupissent dans les geôles de l’État colonial français ? Serviles tous ces anonymes syndiqués inscrits en rouge sur les listes noirs du patronat et qui vivent dans l’indigence grillés qu’ils sont par les employeurs ??? L’attitude des pourris du SO qui ont donné le camarade étudiant est tout à fait gerbante et intolérable et pour ma part je ne suis pas plus surpris que ça (hélas). Cependant, ça ne te donne absolument pas le droit de faire ces amalgames honteux sur l’ensemble des syndicalistes et autres salariés en grève qui mettent leur salaire donc leur seul et unique moyen de revenu sur la table. Tu comprendras que dans ces conditions de tensions extrêmes, on n’a pas forcément le cœur à faire de l’humour. Tu remarqueras, au passage, que je n’avais relevé qu’une de tes réflexions. Mais vas y continue à cracher ta bile sur les syndiqués. C’est dans l’air du temps, c’est tendance comme on dit de nos jours dans les écoles de commerce. Vivre par procuration la lutte des autres parce que l’on est soit même dans l’incapacité de porter ses propres luttes, c’est une chose mais mettre son salaire en jeu avec toutes les répercussions que cela engendre (loyer, enfants, répression futures etc.) en est une autre.
    Alors bonne soirée et à samedi pour la super manif anti grève. Tu me reconnaitras, j’aurai une cagoule et l’intégral (pas le casque) de Guy Debord sous les bras.
    Ah, je crois que je viens de faire de l’humour...
    D. Un syndicaliste bêlant (c’est comme ça que l’on dit, non ?)

  • Le 1er octobre 2009 à 23:03

    Le texte du CCI serait intéressant à diffuser en manif, et d’en débattre gentiment. Si bien sur ils ne sont pas déjà au courant de ce qu’il se passe ailleurs dans leur profession (mouais...).

    Concernant les grèves avec gratuité, en particulier dans les transports, autant je trouve ces opérations sympathiques pour prendre à contre-pied les journalistes qui font le trottoir en quête d’usagers-pris-en-otage, et mettre a mal ces discours contre les privilégiés-qui-empêchent-les-gentils-français-de-travailler, autant ces grèves perdent leur impact économique, le blocage des flux. Quitte à se mettre la justice à dos, je préfèrerais à leur place une bonne grève sauvage :)

    Je rêve d’une grève des contrôleurs diffusant des tracts sur l’inutilité de leur travail avec un petit graphique comparant les couts de la répression aux gains de la billetterie, douce utopie o :)

  • Le 1er octobre 2009 à 21:27

    ou est ce que t ’ as vu que je donnais des ordres au travailleur ? et toi tu te prends pour qui, pour me dire si j’ ai le droit de donner mon avis ? si il y a un buros ici c’est toi ...
    C’est clair ne nous trompons pas d’ennemi ,les transports gratuits c’ est pas seulement un moyen de faire pression financiere ,c ’est aussi surtout un moyen d ’etre populaire.
    En ce moment il y a des tas de gens qui sont enervés par le corporatisme de certains ,et ce ne sont pas tous des liberaux ou des gens de droite.
    On entend dans la rue des tas de gens gueuler contre les grevistes tcl en ce moment ,meme chez des gens qui n’ aiment ni les patrons,ni les bourgeois , ni les flics.Ce mouvement est hyper-impopulaire par manque d’ information , et ca va bien au dela des sarkozistes et autres « liberté cherie ».
    il serait peut etre bienvenu de se poser la question de « comment rendre ce mouvement populaire » ??
    non ? j’ ai faux ?

  • Le 1er octobre 2009 à 17:37

    Ok pour ce qui est des contrôleurs et autres métiers de flics. Mais pour les reste, tu te prends pour qui pour dire aux travailleurs ce qu’ils doivent faire ou pas ??? ...un buros en devenir ?
    Concernant la grève avec gratuité des transport. Les cheminots ont fait la grève de la pince, il y a quelques années. Ils s’y sont cassés les dents juridiquement avec des sanctions très lourdes. Qui les as soutenu ? Certainement pas ceux qui donnent ces bons conseils. De plus, concernant la grève du ticket aux TCL, ce n’est pas un moyen de pression sur KEOLIS car la billetterie ne pèse presque pour rien dans sa trésorerie. Keolis est une entreprise privée en délégation de service public, c’est-à-dire que le Sytral, organisme public dépendant du Grand Lyon, verse de l’argent à Keolis en échange de l’exécution de cette mission. Keolis, entreprise privée qui traite ses agents TCL (le nom commercial de KEOLIS) comme de la merde fonctionne à plus de 70% grâce à de l’argent public.En y regardant de plus près, l’argent pris directement au usagers via la billetterie (abonnement et tickets) sert quasi intégralement à financer... la billetterie, ainsi que les systèmes de contrôle. En gros, si l’on supprimait les portiques et leur entretien, les machines à tickets et leur entretien, les guichets billetterie et les contrôleurs, les TCL pourraient être « gratuits ». Au lieu de cela, Keolis fait pression sur les conditions de travail des agents TCL tout en rémunérant grassement ses dirigeants et actionnaires, tout cela avec nos frais !
    Non seulement à Lyon mais aussi dans la plupart des grandes agglo françaises et européennes. alors ne nous trompons pas d’ennemis

  • Le 1er octobre 2009 à 16:39

    Je viens de lire sur le site du CCI. http://fr.internationalism.org/ ,cet article concernant une lutte des chauffeurs de bus a Sydney (Australie). Comme vous le lirez, les attaques contre les conditions de travail des chauffeurs de bus à Sydney ressemblent pratiquement aux attaques que subissent les chauffeurs des TCL sur Lyon. Montrant par là que face à la crise mondiale, partout il faut rentabiliser au maximum, faire des économies. C’est attaques ne concernent pas essentiellement les chauffeurs de bus mais l’ensemble des ouvriers qu’ils soient dans le privé, le public, ainsi que ceux qui se retrouvent au chômage. En un mot la bourgeoisie veut nous faire payer la crise de son système. Face a cette attaque, l’important c’est de développer une lutte uni et solidaire pris en charge par les ouvriers eux-mêmes. La lutte a Sydney montre que cette lutte est possible
    Bonne lecture.

    Le lundi 24 août, 130 chauffeurs de bus de Sydney ont mis en place une grève sauvage défiant les patrons, les bureaucrates d’Etat et également les syndicats, grève dénoncée par tous. Les ouvriers de Busways au dépôt de Blacktown à l’est de Sydney ont arrêté le travail à 3h30 du matin, provoquant l’annulation des services de période de pointe dans les zones de Blacktown, Mount Druitt et Rouse Hills.
    La décision des ouvriers de se mettre en grève a été prise après la rupture de la négociation entre les syndicats et l’administration de Busways sur la réforme des horaires qui devait être mise en application en octobre. Face à une économie en ruines et à un système de transports en commun à la dérive, les dirigeants des autobus privés, de concert avec le gouvernement, essayent de réduire radicalement les coûts et d’imposer des accélérations de cadence. Les conducteurs ont protesté contre les nouveaux horaires, invoquant le fait que ces derniers représentent une attaque contre les conditions de travail des conducteurs et qu’il sera impossible de les mettre en application car elles sont un empiètement sur les périodes de repos et font pression sur les conducteurs pour qu’ils dépassent des limites de vitesse, mettant en danger la vie des passagers et des autres automobilistes. "Le nouvel horaire signifie moins de temps pour accomplir nos itinéraires. Nous courrons après le retard et serons blâmés par le public. Puisque nous courrons après le retard, il y aura aussi moins de temps de repos. » expliquait un travailleur.1
    Depuis des mois, le TWU (le Syndicat des Travailleurs du Transport) et la compagnie font trainer en longueur les négociations sur ces nouveaux horaires qui ne peuvent déboucher sur le moindre résultat positif pour les conducteurs. Pire encore, le TWU a également été complice des attaques contre les conditions de vie et de travail de ces dernières années, notamment à travers les divers accords pour accroître la ‘flexibilité’. Après la rupture complète des négociations, les ouvriers, irrités par le manque de soutien et par la trahison pure et simple du syndicat, ont pris la décision d’arrêter le travail sans consulter le TWU et la direction de Busways tout en se défiant d’eux. Un ouvrier déclare : " Nous n’en pouvons plus. Nous avons essayé, à travers le système, d’obtenir des changements et rien ne s’est jamais produit. Nous ne pouvons strictement rien obtenir avec le syndicat Le but des syndicats était censé être d’améliorer les conditions, pas de les aggraver"2 et un autre que "le syndicat a dénoncé les ouvriers pour ce qu’ils ont fait. Nous avons décidé que nous ne pouvions plus rien attendre du syndicat. Le syndicat ne s’inquiète que des 60 $ mensuels que nous devons lui verser".
    La réponse des patrons et du syndicat devant cette grève était de faire en sorte qu’elle se termine le plus rapidement possible. Concernant la gestion des horaires de Busways, la direction et le TWU ont fait volte-face, se déclarant d’accord dans les négociations sur les horaires proposés par les chauffeurs, les conducteurs ayant pris la décision au bout de 6 heures de discussions de retourner au travail à 9h30 du matin, après avoir attendu la fin des services de pointe du matin. Malgré cette décision, les conducteurs ont exprimé leur intention de déclencher de nouvelles actions de grève si la compagnie refusait de revoir à la baisse son programme de réformes. Cependant, l’évocation de cette perspective a provoqué la décision d’interdire d’autres actions de grève ainsi que des menaces de répression, de la part de la Commission des Relations Industrielles.
    La réaction rapide du syndicat pour contenir et arrêter la grève confirme que c’est seulement si les ouvriers prennent leur lutte dans leurs propres mains, comme l’ont fait les conducteurs, que la défense des conditions de vie et de travail peut être efficace. Cependant, le résultat de la grève n’a pas encore été une victoire pour les conducteurs. Le nouveau round de négociations entre le TWU et la direction de Busways s’est conclu sur un accord pour procéder à la réforme des horaires, ce qui était déjà cyniquement prévu dès le début, c’est-à-dire de suivre les décisions de la direction de la compagnie..
    Nous apportons notre entière solidarité aux ouvriers de Busways et nous considérons cette grève comme un moment important du développement de la lutte de classe en Australie. En réponse à la faillite du système capitaliste et aux attaques contre des ouvriers par le capital, la classe ouvrière doit prendre confiance en sa propre force et en celle de sa lutte, à la fois pour se défendre au quotidien et finalement, pour affirmer ouvertement ses propres intérêts de classe. Pour cet objectif, il est absolument essentiel que les ouvriers prennent la lutte dans leurs propres mains, et plus encore, qu’ils se battent pour étendre et généraliser cette lutte. L’isolement dans lequel les conducteurs se sont trouvés, combiné au spectacle hystérique de la dénonciation des conducteurs qualifiés dans cette ignoble campagne de « bolchos »,, de « brutes », par tous les médias aux ordres de la classe dirigeante, est une cause fondamentale de l’étouffement de la lutte. C’est seulement en prenant directement leur lutte en mains, en dehors du cadre syndical, et en la généralisant, contre toutes les divisions sociales, sectorielles et géographiques, que la classe ouvrière peut trouver la force nécessaire pour développer son combat.
    NIC (9 septembre)

  • Le 1er octobre 2009 à 13:19

    Owoouui ! Elèvez ma conscience mon père ! Transcendez-moi de vos lumières pour briller par delà les siècles et illuminer le chemin de la Vérité !
    Alléluia mes camarades ! Loué soit le Saint D.icka !

    A croire qu’un syndiqué, en plus d’être servile, n’a pas d’humour :-p

    En réalité, si les syndicalistes en chef ont jetés en pâture à la bleusaille un des étudiants venu soutenir le mouvement, c’était pour qu’il tienne compagnie à leurs potes syndicalistes-taulards. Quel grand coeur, quel esprit de sacrifice ! :’)

    Rebelyon a justement été cité dans les commentaires du Figaro, vont bientôt se faire taxer de contre-révolutionnaires, à soulever des problèmes liés aux syndicats :)

  • Le 1er octobre 2009 à 11:40

    mm
    sans vouloir caricaturer ;je trouve qu’ effectivement ce mouvement est corporatiste..
    le grand public a effectivement l’ impression qu ’ on se fout de leur gueule.jeter des oeufs sur des usagers qui essaient de prendre le tramway c ’est pas tres malin ,si ça s ’est bien produit.(ou alors c’ est une rumeur ?)
    et dans ce mouvement il y abien sur des gens biens , mais aussi les controleurs ,les agent s de surveillance des cameras etc ..et pour ces derniers je n’ ai pas plus de raisons de les soutenirs que je n’ aurai de raisons de soutenir une grève de matons.
    disons que j’ aimerai quand meme voir ces gens bouger des fois pour l’ interet général avec autant d ’energie (mouvement contre la reforme des retraites par exemple) , plutot que pour une sombre histoire de « flexibilté du repos compensatoire du travail en week end » ,auxquel personne en dehors d’ eux ne comprend rien.

    facile apres pour les médias de flinguer le mouvement en parlant de « prise d’ hotage » ,de « privilégiés » ,bref la propagande habituelle.
    A quand des syndicalistes courageux ,qui auraient le courage de désobeir au tribunal des prudhommes et d ’organiser une operation gratuité de la ligne D par exemple.Au lieu d’ empecher les gens de rentre dans la ligne D , ouvrir les portillons pour tout le monde ça serait plus populaire..mais oulala ,attention ! c’ est illegal ! c ’est interdit par le tribunal des prudhommes !!!

  • Le 30 septembre 2009 à 23:37, par D.

    « Aussi sympathique que puisse être un syndiqué, n’oubliez jamais que c’est un syndiqué, et qu’il ne bougera pas quand son chef vous enverra les flics. »

    Réflexion absolument pitoyable, pour l’instant, il y a plus de syndicalistes en prison que de collabos. Merci, de ne pas faire de généralité ou alors garde tes commentaires haineux pour le site du figaro ou liberté chérie.
    Et puis surtout syndique toi, tu pourras suivre des formations et élever ta conscience de classe.
    D.

  • Le 30 septembre 2009 à 22:37, par Aravouego

    Les salariés en grève ne sont pas responsables de la bêtises des services d’ordres cgt, cftc, unsa. Ce n’est pas une raison suffisante pour ne pas soutenir la grève.
    Samedi 3 octobre à 14h place bellecour les anti grève ont prévu de manifester, devons nous les laisser faire ?

  • Le 30 septembre 2009 à 20:34

    Etre au coté des travailleurs des TCL, pourquoi pas, mais pas trop près non plus, à moins d’aimer les GAV.

    Conseils pratiques :
    - Ne vous déplacez jamais seul au sein d’une manif des TCL encadrée par des syndicats, faites-vous accompagner par une dizaine de vos camarades, et ne vous séparez jamais.
    - Quand les syndicats distribuent des oeufs aux manifestants, attention ! Sortez immédiatement de la foule, et enregistrez les jets d’oeufs pour vous dédouaner en cas d’arrestation.
    - Aussi sympathique que puisse être un syndiqué, n’oubliez jamais que c’est un syndiqué, et qu’il ne bougera pas quand son chef vous enverra les flics.
    - Evitez de transporter des produits inflammables, on ne sait jamais, avec l’incendie d’un dépôt de bus de cette nuit.

    Solidaire mais pas suicidaire :-p

  • Le 30 septembre 2009 à 17:44

    Alors là on y comprend plus rien ! Etes-vous sûrs que les travailleurs des transports publics veulent de votre aide ? Demander aux étudiants agressés par ceux-ci et arrêtés avec leur aide lors de la manifestation du 25 septembre, article sur Rebellyon.
    On nage en pleine incohérence !

  • Le 30 septembre 2009 à 17:34

    Certes mais quand ces propres salariés deviennent des auxiliaires de police, vidéo-surveillance dans les bus , brigade spéciale d’intervention en relation avec les flics, police dans les bus sur certaines lignes etc... Protestent-ils de cette situation liberticide ? Pour un ticket 3 mois de prison ferme ! Alors soutiens ?

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