« À ta santé camarade ! » est une chronique mensuelle des Canards Masquées. Cette cinquième édition sort alors que les écoles rouvrent sans qu’aucune mesure de réduction des risques de transmission virale n’ait été adoptée. Le Covid aussi fait sa rentrée et ce sont les droits à la santé et à l’éducation des enfants qui morflent.
Les Canards Masquées
Les Canards masquées est un groupe d’autodéfense sanitaire composé de palmipèdes handi·es et valides qui luttent pour des futurs antivalidistes.
Quand on veut on peut : le validisme des jeux olympiques et paralympiques | À ta santé camarade ! #4
« À ta santé camarade ! » est une chronique mensuelle des Canards masquées. Cette quatrième édition, écrite avec Le Cripamphibie, s’attaque aux JOP 2024. Elle décrypte comment le paralympisme relaie un imaginaire du dépassement de soi qui justifie de hiérarchiser les vies.
Renverser la vulnérabilité | À ta santé camarade ! #3
« À ta santé camarade ! » est une chronique mensuelle des Canards masquées. Cette troisième édition détricote la catégorie « vulnérables », essentialiste et individualisante. Elle appelle à prendre conscience de notre vulnérabilité collective et à penser le soin dans cette perspective.
Les médias indés et le Covid, ou comment passer à côté d’une pandémie | À ta santé camarade ! #2
« À ta santé camarade ! » est une chronique mensuelle des Canards masquées. Cette deuxième édition revient sur la manière dont les médias indépendants se sont comportés vis-à-vis de la pandémie du Covid, oubliant leurs beaux idéaux pour sombrer dans l’eugénisme ou mettre la tête dans le sable. Proposant des références plus joyeuses, elle les invite aussi à retrouver leur mordant.
Comment on en est arrivé·es là | À ta santé camarade ! #1
« À ta santé camarade ! » est une chronique mensuelle des Canards masquées. Cette première mouture établit comment derrière l’autodéfense sanitaire ne se cachent pas des choix individuels, mais des positions politiques déterminées. Nos masques sont anticapitalistes, féministes, antiracistes et antifascistes.