En février dernier, le Comité a fait l’objet d’appels téléphoniques et de courriels malveillants en provenance d’une adresse IP gouvernementale. Ces faits font suite à une enquête du Comité sur la présence d’un policier de la BAC en manifestation, porteur d’un LBD, alors qu’il était identifié comme l’un des auteurs des blessures graves infligées à un manifestant en décembre.
