Nouvelle arrestation dans le milieu antifa lyonnais ce vendredi 15 octobre.

L’acharnement continue contre les antifascistes lyonnais·e·s
Mise à jour :
- 20h46, 15 octobre 2021. La camarade a été libérée.
Nouvelle arrestation dans le milieu antifa lyonnais ce vendredi 15 octobre.
Le collectif Matsuda vous propose deux événements à Lyon autour de la sortie du livre « Abolir la police, échos des Etats-Unis » : 1 projection le mercredi 13 octobre et 1 journée de présentation et d’ateliers le samedi 16 octobre.
Suite à l’inculpation de sept militants antifascistes et l’incarcération de quatre d’entre eux, nous avons décidé de créer un comité de soutien pour faire face à la répression. Et parce que la justice et la taule attaquent aussi au porte-monnaie, nous avons besoin de soutien financier. Pour ce faire et aussi pour pouvoir discuter collectivement de la situation et imaginer comment passer à l’offensive, nous vous invitons à une soirée de soutien le 12 octobre 2021 à partir de 18h à l’Amicale du futur !
La semaine dernière, sept militants antifascistes ont été interpellés dans le cadre d’une affaire politique montée de toutes pièces par la Préfecture. Jeudi 23 septembre, quatre d’entre eux ont été placés en détention en l’attente de leur procès qui aura lieu le 4 novembre. Parmi eux, l’un des membres actifs de l’Espace Communal de la Guillotière et de la « Guillotière n’est pas à vendre », deux collectifs qui tentent d’organiser la solidarité dans le quartier (distributions alimentaires, permanences d’accès au droit, aux soins, cours de français, d’informatique etc.) et luttent pour la régularisation de tou·tes les sans papiers, l’ouverture des frontières, et pour une Guillotière populaire et solidaire.
Nous souhaitons leur exprimer toute notre solidarité et redire à quel point le combat antifasciste est essentiel et intrinsèque à la lutte que nous menons à la Guillotière.
Bulletin no 199 du 20 septembre 2021, du réseau Résistons Ensemble. Formé en 2002, Résistons Ensemble a pour but d’informer, de briser l’isolement des victimes des violences policières et sécuritaires et de contribuer à leur auto organisation.
Communiqué du Groupe Antifasciste Lyon et Environs suite aux arrestations de nos 7 camarades dont 4 envoyés en prison, et 3 soumis à un contrôle judiciaire.
C’est avec un grand plaisir que le CASSIS (Collectif d’Autodéfense et de Solidarité en Soutien aux Inculpé.e.s Stéphanois.e.s) et la Caisse de solidarité de Lyon vous invitent le samedi 2 octobre prochain à une soirée de soutien, à Grrrnd Zero à partir de 18h30.
Hier, le 15 septembre les carabinieri de Turin ont arrêté l’un de nos copain.
Emilio Scalzo, 66 ans, militant historique du mouvement No Tav, est impliqué depuis le début dans la lutte à la frontière entre la Valsusa et le Briançonnais. Il a toujours été en première ligne pour apporter une solidarité concrète aux milliers de personnes qui ont traversé cette frontière, passant (en plus) d’innombrables nuits sur les cols transalpins.
Retour sur le passage au tribunal de 7 antifascistes lyonnais, suite au « coup de filet » du mardi 21 septembre
Aujourd’hui mardi 21 septembre, la police est en train de procéder à une dizaine d’arrestions d’antifascistes lyonnais
Suite à la publication d’un teaser de présentation de la prochaine édition du festival Lyon Antifa Fest, Laurent Wauquiez, président de la région Auvergne Rhône Alpes et apôtre de la droite dure, a annoncé ce lundi 6 septembre vouloir retirer une subvention de 45 000 € habituellement octroyée au CCO, la salle de concert qui accueille d’ordinaire le festival antifasciste.
Suite aux perquisitions et arrestations du mardi 15 juin, qui ont eu lieu en Creuse et Haute-Vienne visant un grand nombre de personnes. La police s’est beaucoup interessée au site local du réseau mutu : labogue.info différents sites du réseau ont souhaités apporter leurs solidarités avec les inculpés et défendre les médias participatifs.
En soutien aux « Collectifs Justice et vérité », le « Collectif Dar Harraga » vous invite à l’atelier des canulars, ce samedi 11 Septembre à 18h pour une projection et une discussion autour du livre "Wissam vérité" par Farid El Yamni . La projection du film « À nos corps défendants », ainsi que la présentation du livre " Wissam vérité" seront suivies d’une discussion avec Farid El Yamni, Nadia Elabdani et Ian B.
Partir en détention provisoire ou être condamné à de la prison ferme avec mandat de dépôt, c’est dur et potentiellement traumatisant. Du jour au lendemain, ta vie bascule. Et pour celles et ceux qui y font face pour la première fois, c’est un plongeon dans l’inconnu. Souvent, on est mal préparé à l’incarcération d’un proche ou à la sienne. On connaît mal l’univers carcéral, son mode de fonctionnement. Recueillis par la Caisse de Solidarité, les extraits d’entretien proposés ici visent à combler un tant soit peu cette lacune.
Lors de la troisième manifestation contre le pass sanitaire (31 juillet), plusieurs milliers de personnes ont bravé l’interdiction de manifester et sont descendues dans les rues. Deux cortèges ont défilé, l’un au départ de la place Carnot et le second depuis le parvis René Descartes (autorisé par la préfecture et à l’appel du parti de Philippot, les Patriotes). Comme au début des manifestations gilets jaunes, il y a deux ans et demi, les cortèges étaient composés pour partie de « primo-manifestant.es » très enthousiastes, très énervés et bien décidés à exprimer leur colère, que la manif soit interdite ou non. Des affrontements avec la police ont éclaté à proximité de la place Jean Macé et les forces de l’ordre se sont évertuées à repousser les manifestant.es vers la Guillotière et à les courser pour les disperser. Au total, neuf personnes ont été interpellées (soixante-douze dans toute la France), dont trois jugées en comparutions immédiates le lundi suivant.
Bulletin no 198 du 20 juillet 2021, du réseau Résistons Ensemble. Formé en 2002, Résistons Ensemble a pour but d’informer, de briser l’isolement des victimes des violences policières et sécuritaires et de contribuer à leur auto organisation.
Partir en détention provisoire ou être condamné à de la prison ferme avec mandat de dépôt, c’est dur et potentiellement traumatisant. Du jour au lendemain, ta vie bascule. Et pour celles et ceux qui y font face pour la première fois, c’est un plongeon dans l’inconnu. Souvent, on est mal préparé à l’incarcération d’un proche ou à la sienne. On connaît mal l’univers carcéral, son mode de fonctionnement. Recueillis par la Caisse de Solidarité, les extraits d’entretien proposés ici visent à combler un tant soit peu cette lacune.
Partir en détention provisoire ou être condamné à de la prison ferme avec mandat de dépôt, c’est dur et potentiellement traumatisant. Du jour au lendemain, ta vie bascule. Et pour celles et ceux qui y font face pour la première fois, c’est un plongeon dans l’inconnu. Souvent, on est mal préparé à l’incarcération d’un proche ou à la sienne. On connaît mal l’univers carcéral, son mode de fonctionnement. Recueillis par la Caisse de Solidarité, les extraits d’entretien proposés ici visent à combler un tant soit peu cette lacune.
Lundi dernier, comme après de nombreuses manifestations, se déroulaient les habituelles comparutions immédiates à l’encontre des personnes arrêtées le samedi précédent. Sauf que la manifestation en question n’avait rien d’habituel puisqu’elle a eu lieu en plein mois de juillet, qu’elle n’était appelée par aucun parti ni syndicat et qu’au niveau national, la mobilisation a réuni plus de cent mille personnes. La manifestation était interdite par le préfet, ce qui n’a pas empêché une foule nombreuse de se retrouver place Jean-Macé face aux camionnettes des gendarmes mobiles. Bloqués et gazés sur le lieu de départ, des manifestant.es ont réussi, tant bien que mal, à déborder le dispositif policier et à défiler. En fin d’après-midi, les lacrymogènes noyaient la place Bellecour tandis que les cordons de police recevaient des projectiles en tout genre. Côté répression, neuf personnes ont été interpellées. Après 40h de garde-à-vue, trois ont été jugés en comparution immédiate et trois autres en comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC).
Partir en détention provisoire ou être condamné à de la prison ferme avec mandat de dépôt, c’est dur et potentiellement traumatisant. Du jour au lendemain, ta vie bascule. Et pour celles et ceux qui y font face pour la première fois, c’est un plongeon dans l’inconnu. Souvent, on est mal préparé à l’incarcération d’un proche ou à la sienne. On connaît mal l’univers carcéral, son mode de fonctionnement. Recueillis par la Caisse de Solidarité, les extraits d’entretien proposés ici visent à combler un tant soit peu cette lacune.
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