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• Le 30 août 2019 à 19:35, par #

  cela à été dur,
  aprés avoir passé 17 ans de ma vie en zonzon,

  aprés avoir combattu contre la double peine, la greve de la faim au mois d avril 1998,qui a durée 51 jours
  j ai pus obtenir une assignation à résidence qui à durée 5 années avec un pointage mensuel, au commissariat de ma commune, en attendant le relevé de mon interdiction du territoire, par la cour d appel de Lyon, mes requêtes, posés tous les 6 mois étaient rejetés, cela a dureé 5 anneés il a fallut que le pasteur Jean Costil,( de la cimade) et Bernard Bolze, plaident ma cause auprès du procureur général de Lyon,pour que la cour d appel accède a ma demande, une fois relevé , j ai pus obtenir un titre de séjour. Je précise que malgré mon assignation à résidence, j ai toujours travaillé j ai exercé la profession de tourneur/ fraiseur, pour divers société de mécanique de précision de la région Lyonnaise. J ai pus m insérer grâce a mon métier Aujourd hui je suis serein, en paix avec moi meme, cela n a pas été facile, mais je suis arrivé, je remercie , mes fréres de m avoir soutenu, (khaled, zoubir, hacene, ma fille Sandrina, Bernard Bolzen createur de l OIP, Jean Costil de la cimade, pour qui j ai un profond réspect.
  Jen ai bavé, j ai souffert de cette situation qui me marginalisé..

• Le 11 juillet 2011 à 05:20, par Les Durs de Lyon #

  Avant d’entrer dans ma cellule il a fallu me mettre nu.
  Dans une fosse comme un ours,
  Chaque matin je me promène.
  Tournons tournons tournons toujours
  Le ciel est bleu comme une chaîne
  Dans une fosse comme un ours
  Chaque matin je me promène.
  Que lentement passe les heures
  Comme passe un enterrement.
  Et prisonnier sans horizon
  JE NE VOIS RIEN QUE DU CIEL HOSTILE.
  Une lampe dans la prison
  Nous sommes seuls dans ma cellule
  Belle clarté C her raison.

  A Guillaume

  djamel.touhami@wanadoo.fr

• Le 11 juillet 2011 à 05:08, par Les Hauts Murs #

  Ne pas lire, c’est vouloir mourir.
  Lire, vous fructifie l’esprit,
  vous enrichit, pour mieux comprendre...
  pour être alerte, pour mieux appréhender l’écoute.
  Ne serait ce que pour ne pas mourir idiot,
  au pays des lettres, et des lumières.