Dans un contexte de crise des mobilisations sociales et écologiques, de nouvelles formes de contestations voient le jour, à commencer par le sabotage. Les actions symboliques ou les coups médiatiques destinés à faire pression sur le pouvoir étatique sont jugulées par une répression de plus en plus féroce. Face à l’autorité de l’État, les mouvements sociaux et écologistes sont réduits à l’impuissance.
À travers l’histoire du sabotage, il s’agit de renouer avec l’action directe, d’inspirer des pratiques offensives qui visent à déstabiliser en profondeur les structures qui gouvernent l’industrie du désespoir contre laquelle rien ne semble pouvoir s’élever. Aujourd’hui, le sabotage revient sur le devant de la scène comme une pratique pour nous sortir de la résignation en ravivant la praxis révolutionnaire.
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