C’est l’histoire de ma vie parfois submergée par des sentiments de solitude et d’impuissance, parfois remplis de sentiments de joie et d’envie de créer à plusieurs !

Je suis de la plèbe qui défendra toujours les esclaves et non les patriciens ! Mais je pourrai très bien être un patricien qui décide de laisser mon statut et ma situation afin de faire partie de la plèbe ou même être de la plèbe pour être un esclave, vu que je ne crois plus en ce système fait de strass et paillettes et maquillages mais lorsqu’on enlève tous ses artifices je vois très bien la souffrance, la dépression, le mal-être de gens se cherchant indéfiniment...
Je suis sensible  !

Je ne laisserai plus jamais rien passé sous ou loin de mes yeux ! Je participerai à toutes les luttes car j’en ai la force ! Je ne me concentrerai plus jamais seulement sur moi destiné à pourrir si je ne tourne qu’autour de moi... J’aiderai touTes celles et ceux ayant besoin de se libérer ! Je hais le nihilisme ambiant véhiculé par celles et ceux du sommet, ce ne sont qu’eux qui ne croient en rien pas nous  !
Je suis pour que chaque couche se centre sur elle-même afin d’imploser pour déborder sur celle au-dessus jusqu’à l’infini afin que soit pour toujours abolit la société de classes-ments !

Plèbe : (du latin plebs, plebis) est une partie du peuple (populus) romain, c’est-à-dire les citoyens romains, distincts des esclaves. La plèbe — les plébéiens — se définit par opposition aux patriciens. Dans le langage courant, la plèbe désigne la population.

Patricien : (du latin patricius, dérivé de pater qui signifie « père ») est durant la période romaine un citoyen qui appartient, par sa naissance, à la classe supérieure ancienne et traditionnelle, et par ce rang détient diverses prérogatives politiques et religieuses. La classe des patriciens se distingue à Rome du reste de la population dite plébéienne.

Je rappel cela pour ne pas jouer au jeu de chaque fascisme quel que soit son masque, lorsqu’il parle du peuple. Comme si nous étions touTEs dans la même réalité... Je défendrai toujours les exploitéEs-oppriméEs ! Aucun amalgame ne sera fait, jamais je ne jouerai à la confusion avec celui qui tient des discours de bonnes conduites tout en possédant une entreprise faisant travailler des enfants ou encore nos parents ou grands-parents toute leur vie jusqu’à les épuiser pour qu’il meurt peu de temps après avoir pris leur retraire.

La loi et la justice je les hais ceux-ci ont été crééEs pour les patriciens et tous ceux se trouvant en haut de notre système hiérarchique.

Exemple de cette loi travail actuellement en train de passer pendant que nous sommes obligéEs de voir les seules violences révolutionnaires qui existent encore un peu subissant les anéantissements des patriciens, de l’État, du capital, du patronnât, tout cela est légal...

Voilà pourquoi je détesterai toujours l’État et la loi !

Vive l’autonomie des incompris, des non-écoutéEs, des exploitéEs, des collégienNEs, lycéenNEs, jeunes, vieux, chômeurEs, travailleurSEs, pauvres, des sans-abris, des noirEs, des arabes, des chinois, des nords-africainEs, des africainEs, des gens des pays de l’est, des sud-amricainEs, des américainEs coincéEs dans leur pauvre société faisant la culture de la consommation et du consumérisme qu’ilLes gerbent sur le monde, des squatteurSEs, des manifestantEs, des paysanNEs, des semencierEs, des jardinierEs, des LGBT, des obèses, des maigres, des vegans ou celles et ceux en devenirs, des animaux parce que ce qu’on s’entraine à faire sur eux on le fait ensuite sur nous... j’en oublie tellement vous le savez bien !

Je souffrirai toujours lorsque je saurai souffrances mais je serai heureux lorsque je saurai bonheur !

Pour une vie intense partout, tout le temps !

Lorsque je vois le nouveau souffle apporté que ce soit par les ZAD ou la mouvance hétérogène autonome je ne souhaite qu’en faire partie aussi, pour répandre se virus du débordement privé-public afin de ne plus dissocier les deux (comme si ce que nous sommes en privé ne comptait plus dans le public...), que chaque désir d’autonomie (femmes, jeunes, précaires, travailleurSEs, etc.) soit fait afin d’opérer à la destruction de nos BESOINS, qu’on ne laisse plus prendre le terrain que nous foulons à d’autres n’en faisant pas partie...

Signé un jeune ne se retrouvant dans rien car je pense faire partie de tout ce monde !

Parce qu’on peut faire tellement de choses pourquoi se contenter de travailler pour accomplir nos désirs et supprimer nos besoins ?

La fin d’une civilisation ne signifie pas la fin du monde si nous sommes de celles et ceux qui détruisons (car parfois il n’y a que ça à faire contre certaines choses) pour reconstruire quelque chose de plus nous  !