Tout le matériel informatique de ces deux associations a été saisi ainsi que divers documents administratifs. Une grande partie des militants de ces deux associations ont été interrogés de façon assez pénible.
Trois personnes ont été mises en garde à vue : 35 heures pour le président de Dignité Animal, 58 heures pour le président de l’association Le Glaive, et un autre militant en a passé 38 heures très déstabilisantes. La garde à vue fut éprouvante pour ces 3 personnes, et la gendarmerie a même menacé le président de l’association Le Glaive de l’envoyer en incarcération préventive. Aucune preuve n’ayant pu être trouvée contre elles, ces trois personnes ont été relâchées, à des heures différentes les unes des autres.
Il est clair que la police et la gendarmerie font tout pour collecter un maximum d’informations sur les mouvements français pour les droits des animaux et récolter un maximum de prélèvements ADN.
Sans une forte solidarité qui doit s’imposer entre tous les militants, tous, seront sous peu la proie de la répression.
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