Ce livre tente une analyse politique des idéologies du genre, au delà des controverses entre une conception conservatrice, normative et mythique de la nature humaine et une autre, néo-moderniste, ne la percevant que sous sa forme sociale construite qui a perdu tout rapport avec l’idée première de genre humain. Appuyée sur des références historiques, philosophiques et anthropologiques, cette analyse se réclame d’une « théorie critique » (développée par ailleurs dans la revue Temps critiques) de la « société capitalisée ». Dans cette perspective, le rapport social capitaliste a puisé dans les mouvements particularistes de libération qui ont suivi l’assaut révolutionnaire des années soixante du vingtième siècle une nouvelle dynamique, révolutionnant l’ordre ancien, qui conduit aujourd’hui à l’émergence d’un individu egogéré dont les pratiques et les valeurs ne semblent plus relever que de questions de choix.
Comment est-on passé d’analyses en termes d’universalité et de générécité (« l’Internationale sera le genre humain ») à celles en termes de genres masculin et féminin ?
C’est ce à quoi essaie de répondre le livre de J. Wajnsztejn.
>NGE doit disparaître - NGE s’enflamme
Un nouvel appel à actions contre NGE à été lancé après qu’un quatrième sabotage contre l’A69 ai lieu en un peu plus d’un mois. Quelques jours après 4 machines sont incendiées sur le chantier de l’autoroute.
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