Cette nuit, la révolte s’est étendue : à Lyon, Strasbourg où un commissariat a ainsi été pris pour cible, et dans bien d’autres villes.
En banlieue parisienne, Villeneuve-la-Garenne, Suresnes, Aulnay-sous-bois, Saint-Denis, Meudon, Nanterre, Clichy-sous-Bois, de nombreux feux d’artifice ont été tirés et des incidents sporadiques ont été constatés.
Beaucoup de vidéos circulent sur Snapchat et Twitter.
Le territoire est quadrillé par la police depuis le début du confinement. Dans les quartiers, la situation est particulièrement difficile, à cause de la promiscuité, de la précarité, des difficultés sociales.
La police s’y déchaine encore d’avantage depuis le début de la pandémie : derrière l’Etat d’urgence sanitaire, une gestion coloniale des populations périphériques.
Plusieurs personnes ont été gravement blessées ou ont perdu la vie ces dernières semaines lors d’opérations de police.
>Manifestations à Lyon, 1er mai et ensuite : vigilance antifa et anticonspi !

Le 1er mai dernier, des gens du cortège safe situé en fin de manif ont l’oeil attiré par des affichettes noir et blanc fraîchement collées le long du parcours, et comportant ce nom étrange : « la rose blanche »...que sont ces affiches, et comment sont-elles arrivées là ...
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